C’est l’une des polémiques de la semaine. Etienne Blanc avait annoncé que l’Union Européenne était prête à financer 50% des accès français du Lyon-Turin, cette ligne à grande vitesse polémique et de moins en moins plébiscitée côté italien. "Il y a, à Bruxelles, 2,8 à 3 milliards d’euros qu’il faut aller chercher. Ce que nous avons demandé au gouvernement, c’est de faire la demande. La question que l’on devrait se poser, c’est pourquoi est-ce qu’aujourd’hui, ça n’a pas encore été fait", s’interroge Etienne Blanc, remonté contre le ministère des Transports qui a tempéré ses révélations.
Candidat déclaré à la mairie de Lyon en 2020 pour les Républicains, le 1er vice-président de Laurent Wauquiez espère bien poursuivre encore un peu son travail à la Région : "A force de dire qu’on ne baisse pas parce que c’est trop faible, on n’arrête pas d’augmenter les impôts en France", glisse Etienne Blanc en référence aux micro-baisses instaurées par la collectivité.
Les Coulisses du Grand Lyon à retrouver tous les matins à 8h10 sur Jazz Radio 97.3 et en vidéo sur LyonMag.com.
Évidement qu'au ministère des transports on sait que l'Union européenne participera au financement des accès français du Lyon Turin à hauteur de 50%. En réalité, cet individu essaye de s'agiter pour exister politiquement, c'est tout.
Signaler RépondreC'est beau de voir s'écharper les politiciens pour des raisons de fric...
Signaler Répondreun bon moyen de ne plus voir ce spectacle ?
Un monde postmonétaire basé sur la démocratie réelle directe :)
ils en pensent quoi les habitants de Divonne-les-bains dans l'Ain?
Signaler RépondreM Blanc pourra faire toutes les déclarations qu il souhaite, il apparait a mes yeux comme un profiteur en cour de parachutage... qui abandonne son mandat de maire et ceux qui lui ont fait confiance!
Ne vous excitez pas! Sarkozy a pompé toutes les capacités d’investissement du pays pour les travaux du « Grand Paris ».
Signaler Répondre