Cela fait plusieurs mois que Lyon célèbre 40 ans de musiques actuelles. "Quand on va au Transbordeur ou à la Halle Tony-Garnier, on a du mal à imaginer qu’elle était la situation dans les années 75-80. Avec une répression administrative et policière assez forte sur les salles de diffusion de musique amplifiée. Le concert organisé il y a 40 ans à Fourvière a été la conséquence de la fermeture d’un lieu mythique, le Rock n’ roll Mops. Ça a été un déclic", narre Loïc Graber.
Avec ce concert fondateur qui avait accueilli plus de 5000 personnes, Libération avait titré "Lyon capitale du rock".
Des expositions et des anniversaires en pagaille (Arty Farty, Transbo, Reperkusound…) sont prévus.
Loïc Graber est également en train de sélectionner le successeur de Serge Dorny à la tête de l’Opéra de Lyon : "On a une vingtaine de candidatures (…), avec des profils internationaux intéressants", glisse l’adjoint qui prévoit une annonce d’ici l’été prochain.
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C'est dommage, on sent vraiment qu'il récite une leçon Graber. Petite question: qu'à-t-il fait pour la culture à part continuer à l'étouffer en mode Collomb, c'est à dire à filer du fric aux très grosses salles ? Nada. Les assos et autres vrais acteurs undergrounds continuent d'essayer de survivre seules. Escrocs et hypocrites
Signaler RépondreLes punks et la new wave à Lyon ? C'est Marie et les garçons en 78 à Fourvière : "disco ! disco ! disco !" , un joyeux bordel au bord de la baston générale ! Et Starshooter qui voulait faire la nique aux Beatles avec leur reprise de "Get Back" ... :))) 40 ans après, la honte pour ces avortons des Sex Pistols ! Heureusement qu'il y avait quand même Ganafoul, Bijou, Téléphone et quelques autres pour sauver la mise....
Signaler RépondreNB :RIP pour Marie morte si jeune.
En même temps, pour les journalistes de Libé, tout ce qui se passe au delà du périph parisien, c'est l'étranger.
Signaler RépondreSouvenez vous, la culture sous le 1er Collomb... Sous Noir... et pire encore, sous Raymond Barre !!!!!
Signaler Répondre:D
Au bonheur des dames : rock potache de Paris
Signaler RépondreStarshooter : rock Lyon
Téléphone : soupe Paris
Ganafoul : rock Givors
Bijou : rock région parisienne
Cimaron : ?
Electric Callas : rock Lyon
Marie et les garçons : ce n'était plus du rock à Fourvière Lyon
Little Bob : rock Le Havre
Nick Lowe : rock UK
Lyon capitale du rock c'est surtout un fantasme de journaliste de Libé qui ne savait pas que Givors n'était pas Lyon !
A Lyon, fin 70, le rock était une affaire de petits bourgeois
c'est quoi Lyon 2 , la fac ?? connais pas !! la zic depuis un demi siècle berce ma vie ...et les plus improbables et électriques concerts je ne les pas vue dans une salle de Lyon (heureusement la bourse sauvait la mise) .... mais autour , je parle de the pogues à Vaux , RL. Burnside à Villeurbanne, OTH à Craponne ...seules les associations indépendantes réussissaient à amener des choses intéressantes et à un prix "rock" ,( Buzzcock à Clermont 16 euros , au supermarché ninkassi 27 ...)
Signaler Répondrebref chacun sa carte du monde
Ne répétez les âneries que vous avez entendu à Lyon 2 !
Signaler Répondre...Au bonheur des dames, Starshooter, Téléphone, Ganafoul, Bijou, Cimaron, Electric Callas, Marie et les Garçon, Little Bob, Nick Lowe ... quel groupe de lyon rock Starshooter ??? machine à laver ....les autres étaient de Lyon ??? faire passer des groupes c'est une chose mais avoir la culture d' une ville rock en est une autre...
Signaler RépondreDate : Samedi 29 juillet
Signaler RépondreLieu : Grand Théâtre
avec : Au bonheur des dames, Starshooter, Téléphone, Ganafoul, Bijou, Cimaron, Electric Callas, Marie et les Garçon, Little Bob, Nick Lowe
Pas très banlieues tous ces groupes. Un superbe soirée à laquelle j'ai assisté.
Ton discours est celui d'un ignare ! J' étais à ce concert, et pas de banlieues parmi les groupes qui bien sur ne correspondent pas à ta sensibilité !
Signaler RépondreLyon a toujours été une ville naze , toute l'énergie venait de sa banlieue...
Signaler Répondreça vous étonne de la part des "employés" de Collomb qui se fait du souci pour sa réélection ?
Signaler Répondre:D
La seule question qui se pose c'est "qui en face" ?
Tout à fait! LYON n’a jamais été « la capitale du rock » : c’était Givors (Factory, Ganafoul, Kildozer). Monsieur Graber fait le malin mais connait-il ces groupes et le dynamisme musical Givors de l’époque. Probablement pas. On écoute ici un plaidoyer pro-domo.
Signaler Répondreeffet métropole (?) mais la ville que l'on pourrait aussi surnommer la capitale du rock dans ces années là était Givors.
Signaler RépondreL'histoire s'écrit toujours de la plume des vainqueurs.