Ce ne sont pas moins de 1 150 places qui sont disponibles sur l'agglomération lyonnaise. "Aujourd'hui, nous sommes en phase avec nos objectifs. L'ambition est d'atteindre 1 400 places de parking en fin d'année 2019. Il faut trouver des accords pour pouvoir exploiter ces places. Nous avons fait 140 000€ de chiffre d'affaires en 2018. Nous visons une augmentation de 157% en 2019", annonce le président de LPA, Louis Pelaez. Aujourd'hui, ce sont des entreprises, pour l'instant cinq bailleurs sociaux et une entreprise privée (Orange) qui mettent à disposition leurs places de parking à LPA.
Ce sont désormais 409 abonnés à la start-up qui peuvent réserver chaque jour, grâce à leur application, une place de stationnement, parmi 110 parkings dans l'agglomération. Il suffit de réserver sa place de stationnement sur l'application, entrer dans le parc grâce à son portable qui fait alors office de "télécommande" et de se garer. Le paiement s'effectue directement sur le mobile.
Avec une forte concentration de zones de stationnement en centre-ville, de nouveaux parkings devraient se développer plus à l'extérieur de la ville, comme dans les quartiers de Villeurbanne, Craponne ou encore Chasse-sur-Rhône : "La mobilité évolue aujourd'hui. Il faut rapprocher les gens qui vivent en dehors de la ville, vers les transports en commun. Ces parkings seront en quelque sorte des parkings-relais", annonce le PDG.
Des locations de places sont aussi ouvertes au grand public. "Tous les parkings qui disposent de ce type de service sont au même prix. Deux heures de location sont à deux euros", indique Adrien Jonget, responsable marketing de LPA.
"Il y a trop de places de parking vacantes sur Lyon. Avant de construire des parkings, il faut utiliser ces parkings inutilisés. Il y aurait plus de 2 500 places de parking potentielles sur Lyon, isolées de voieries", conclut Louis Pelaez, PDG de LPA.
Ceci est un publi-reportage.
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