"J’ai exprimé de forts doutes et ma perplexité sur l’opportunité de cet ouvrage. Je ne suis vraiment pas convaincu qu’il s’agisse d’un projet dont l’Italie a besoin", a assuré le Premier ministre italien.
Le projet du Lyon-Turin avait déjà fait parler un peut plus tôt dans la journée. Le gouvernement italien avait annoncé souhaiter renégocier avec la France et l’Union Européenne concernant le coût de la ligne à grande vitesse.
La réponse de l’exécutif français ne s’est pas fait attendre. Dans la soirée, la ministre des Transports Elisabeth Borne a assuré que la France était "convaincue de la pertinence" de la liaison réaffirmant "son attachement au respect des engagements pris et des délais de réalisation".
vous confondez dette privée et dette publique.
Signaler RépondrePersonne ne viendra en France avec des chars réclamer les intérêts de la dette.
Au moins le premier ministre lui est conscient de l argent dépensé pour rien ou pas grand chose . Coter français on dépense de l argent que l on a pas On vit a crédit et nos petits enfants paieront la note
Signaler RépondreJe ne suis pas le pseudo "correction", mais si je peux aider :
Signaler Répondre"parler un peut plus tôt"
:)
Nous aussi contribuables lucides que nous sommes avons comprit que ce tunnel est une aberration!
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