Action des nationalistes à Lyon : les quatre hommes interpellés puis relâchés
Après une simple audition, les policiers n'ont pas pu établir d'infraction, aucune charge n'a donc été retenue contre eux. Les quatre hommes, dont le président des Jeunesses Nationalistes Alexandre Gabriac, étaient montés sur le toit d'un hôtel de la Part Dieu mardi matin et y avaient déployé une banderole. C'est le GIPN qui a été appelé pour les déloger au bout de 3h.
Un ex-braqueur lyonnais témoigne dans un journal Suisse
Interviewé par "Le Matin", l’homme explique qu’il est bien plus facile de faire un braquage en suisse qu’en France.
Action des nationalistes à Lyon : un évènement "rigolo" pour le Préfet Carenco
Le Préfet du Rhône Jean-François Carenco a réagi mardi en début d’après-midi à l’action coup de poing des membres des Jeunesses Nationalistes, mouvement d’extrême-droite basé à Lyon, et de leur responsable Alexandre Gabriac. "C'est plutôt rigolo tout en étant triste. J'en tire une conclusion : quand on a rien à dire, il vaut mieux le dire fort. Cela doit les servir. Ils vont être contents" a affirmé Jean-François Carenco, avant de préciser que quatre membres nationalistes avaient été interpellés par le GIPN à la Part-Dieu. "C'est un évènement sympathique mais Lyon n'a pas à devenir la capitale de ceux qui prônent la violence, l'exclusion de l'autre, l'intolérance, le racisme et la xénophobie", a conclu le Préfet du Rhône, avant une conférence de presse sur la Fondation pour l’Université de Lyon.
Nouvelle action spectaculaire de militants d'extrême-droite à Lyon (MàJ)
Alexandre Gabriac, le président des Jeunesses Nationalistes, ainsi que d'autres membres du groupuscule ont investi le toit d'un hôtel à la Part-Dieu mardi matin. La Préfecture du Rhône nous a confirmé une information du site internet du journal Le Progrès. Plusieurs membres du groupe des Jeunesses Nationalistes, dont leur dirigeant, Alexandre Gabriac, exclu du Front National, sont montés sur le toit de l'hôtel Novotel, sur la place Charles Béraudier, à la Part-Dieu. Ils ont déployés une banderole et ont indiqué qu'ils ne bougeraient pas sans avoir parlé à un "membre du gouvernement." La Préfecture a indiqué qu'elle avait l'ordre d'intervenir pour les déloger.
Le corps sans vie d'un bébé retrouvé à Vénissieux
Vendredi soir, une jeune femme a accouché dans les toilettes de son appartement. Elle affirme qu'elle ne savait pas qu'elle était enceinte. Ses parents chez qui elle habite n'avaient rien remarqué. Les pompiers ont aussitôt été appelés. Selon le Progrès, une autopsie a été pratiquée lundi pour déterminer si l'enfant était mort-né.
Corbas : les policiers tombent sur une équipe de casseurs en train de découper un coffre-fort
Une Bentley de 250 000 euros, deux motos, un coffre-fort rempli de plusieurs centaines de milliers d'euros et toutes sortes d'objets de valeur... c'est un véritable trésor qu'ont découvert les gendarmes à Corbas. Ils avaient été appelés par les habitants d'une résidence en raison de bruits inhabituels et sont tombés sur plusieurs personnes en train de découper un coffre-fort dans un garage souterrain de l'immeuble. Tous les biens avaient été volés en Suisse. En tout 5 personnes originaires de Givors, Vénissieux et Villeurbanne, ont été interpellées. Trois de ces hommes de 19 à 31 ans ont été écroués.
Ils se font passer pour des policiers sur l'A6 et volent 4000 euros
Deux malfaiteurs ont fait preuve de culot. Vendredi soir sur l'A6, au volant d'une fausse voiture de police banalisée équipée d'un gyrophare, ils ont obligé des touristes russes à s'arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence. Cela s'est passé à hauteur de Dracé dans le Beaujolais. Les malfaiteurs ont alors volé à leurs victimes 4000 euros en liquide avant de repartir. Selon le procureur de Villefranche, cette affaire en rappelle d'autres récentes dans la Drôme, le Vaucluse et en Côte d'Or où des arrestations ont eu lieu.
Spectaculaire accident lundi soir sur l'A6 à hauteur d'Arnas
Une conductrice a perdu le contrôle de son véhicule. Elle a fait une embardée et plusieurs tonneaux avant de finir sa course sur le toit. Cela s'est passé peu avant 19h. Elle et sa fille de deux mois ont été blessées et transportées à l'hôpital de Villefranche. L'autoroute a été coupée pendant près d'une heure.
St Priest : un braqueur présumé s'évade lors de son transfert au tribunal
L'homme a profité lundi de son transfèrement de la prison de Cergy-Pontoise en région parisienne vers le tribunal d'Albertville en Savoie. Il s'est fait la belle alors que le véhicule qui le transportait s'était arrêté dans une station-service à St Priest. D'importants moyens ont été mobilisés pour tenter de retrouver le fugitif, pour l'instant sans succès.
Deux hommes interpellés tôt samedi matin sur la place Bellecour
Les deux hommes se trouvaient à bord d'une voiture volée, et venaient de porter des coups de couteau à un jeune de 19 ans, à la suite d'un différent. On ne connait pas la gravité des blessures de la victime, ni les raisons de l'altercation. Seul l'un des deux agresseurs présumés, âgés de 17 ans, a été présenté au parquet et écroué. Son complice a été laissé libre.
Un homme de 35 ans interpellé samedi soir pour avoir renversé un enfant
Il circulait à scooter sur une place réservée aux piétons, lors qu'il a renversé un enfant de 8 ans. La petite victime a été très légèrement blessée. L'homme a été rapidement arrêté, et doit être présenté au parquet dans la journée.
Agression du Toulouse - Lyon : deux versions s'affrontent
« Je préfère mettre une gifle qu'insulter un juif » : c'est ce que déclare lundi matin dans le journal Midi Libre l'un des deux agresseurs présumés du jeune juif, mercredi dernier dans un train entre Toulouse et Lyon. L'homme rejette les accusations d'antisémitisme. Selon lui, la victime l'aurait provoqué, en refusant de parler moins fort dans son téléphone portable, puis en le poussant à quitter le wagon pour s'expliquer avec les poings. Les deux présumés agresseurs sont mis en examen pour violences en réunion.
Lyon : quatre pompiers portent plainte après avoir été agressés
Appelés dimanche dans le 1er arrondissement, ils sont tombés sur un jeune homme ivre qui a commencé à les insulter avant de leur donner des coups de pied. L'homme âgé de 21 ans a rapidement été maitrisé et placé en garde à vue par les forces de l'ordre. Il était déjà connu des services de police et devait faire l'objet d'une comparution immédiate.
Le voleur de taxi nie avoir foncé sur les policiers
L'homme âgé de 24 ans a été arrêté dans la nuit de vendredi à samedi. Il avait agressé un chauffeur de taxi à Lyon et était reparti avec son véhicule. Il avait ensuite forcé un barrage de police à Annecy et a reçu une balle dans la mâchoire. Le malfaiteur a expliqué avoir simplement voulu fuir. Il a été entendu par les enquêteurs samedi et devait être mis en examen dimanche pour vol avec violence, tentative de meurtre à l'encontre de dépositaires de l'autorité publique et défaut de permis de conduire.
Lyon : deux jeunes de 25 et 26 ans pris en flagrant délit de cambriolage
Ils ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche alors qu'ils se trouvaient dans un restaurant du cours Lafayette à Lyon. Selon le Progrès, les deux cambrioleurs, deux amis originaires de l'Isère et de Seine-St-Denis, ont affirmé être entrés par une porte ouverte, mais qui portait des traces d'effraction. Ils détenaient par ailleurs une pince à griffes.
Un corps repêché à Lyon dans le Rhône
Samedi soir, un passant a repéré le corps d'un homme qui flottait sur des branchages à hauteur du pont de l'Université.
Une contrôleuse d'un TER Saint-Chamond-Lyon accusée de faire du zèle
Selon une usagère et l'Association de défense des usagers de la ligne Lyon-Saint-Etienne, l'agent SNCF verbalisait les passagers sans billet qui l'avaient pourtant prévenu avant de monter dans le train. Le 2 juillet dernier, une usagère emprunte la ligne Saint-Chamond-Lyon mais est trop en retard pour recharger son abonnement OùRa!. Elle explique alors à la contrôleuse sur le quai sa situation et cette dernière lui propose de monter quand même. Sauf qu'au moment du contrôle des billets, l'agent SNCF change de discours et verbalise la jeune femme avec une amende de 35 euros. L'usagère se rebelle et il faut l'intervention d'un autre contrôleur pour que l'amende saute et que l'usagère doive seulement s'acquitter du prix du billet, fixé à 8,70 euros. Une situation qui s'est reproduit dans le même train avec un autre usager, sous les yeux de la plaignante. L'Association de défense des usagers de la ligne Lyon-Saint-Etienne dénonce donc une politique du chiffre. De son côté, l'usagère entend envoyer un courrier à la SNCF.
Il vole un taxi à Lyon et termine sa cavale avec une balle dans la joue
Un homme, ancien boxeur amateur, s'est mis dans de beaux draps dans la nuit de vendredi à samedi.
Un réseau de faux papiers bien huilé a été démantelé à Lyon et à Grenoble
Après plusieurs mois d'investigations, les enquêteurs ont mis la main sur 1200 faux documents et interpellé 28 membres d'un réseau africain.
A Lyon, le calvaire d'un adolescent devenu esclave sexuel de sa famille
Un couple a été écroué après plusieurs mois d'enquêtes de la brigade de protection de la famille.