Deux agressions au couteau dans Lyon samedi soir
La première s’est déroulée devant un restaurant du 6e arrondissement rue du professeur Weill. C’est le gérant de l’établissement qui, pris à partie par un client, a sorti un cran d’arrêt et a frappé la victime. Touchée à plusieurs reprises à l’abdomen, elle a été conduite à l’hôpital Edouard Herriot, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Le restaurateur a été placé en garde à vue en attendant sa probable mise en examen pour « tentative d’homicide volontaire ». L’autre agression a eu lieu le même soir, place de la République dans le 2ème arrondissement. Trois jeunes s’en sont pris à un autre groupe. L’un d’entre eux a entaillé la gorge d’un jeune de 22 ans. Heureusement la blessure n’était que peu profonde. Les trois agresseurs sont toujours recherchés par la police.
Gros carambolage sur l’A6 dimanche matin
Peu après 10h, un véhicule a percuté une caravane à au péage de Limas à la hauteur de Villefranche. Sous la violence du choc, au total neuf véhicules arrêtés ont été pris dans l’accident. Mais par chance, seuls une jeune femme et son enfant ont été légèrement commotionnés. Le conducteur du véhicule à l’origine de l’accident aurait eu une panne de régulateur de vitesse qui l’aurait empêché de freiner.
Deux blessés sur l’A7 à Ternay dimanche soir
Peu après 22h, leur voiture a fait plusieurs tonneaux pour une raison encore indéterminée. Les deux occupants, des Isérois, ont dû être désincarcérés par les pompiers. Ils ont été hospitalisés mais leur pronostique vital n’est pas engagé. Cet accident a provoqué deux kilomètres de bouchons dans le secteur, durant l’intervention.
La marche silencieuse a finalement eu lieu dans la Loire
Plus de 350 personnes ont défilé samedi à Firminy, jusqu'au commissariat où est décédé un jeune homme de 21 ans, retrouvé pendu dans sa cellule. Pourtant la famille de la victime s’était opposée à cette marche par crainte de débordements. Trois nuits de violences avaient secoué la commune juste après le drame. Le parquet de Saint-Etienne a ouvert une information judiciaire contre X pour "homicide involontaire".
Pas de marche silencieuse dans la Loire
La famille du jeune homme retrouvé pendu dans sa cellule demande l’annulation de la marche prévue en mémoire de leur fils ce samedi. Elle craints des incidents. Cette marche devait partir vers 14 heures de l'immeuble de Firminy où habitait la victime, vers le commissariat du Chambon-Feugerolles où le jeune homme est décédé.
Une marche en hommage à Fatima
Une centaine de personnes s’est rassemblée sur le Pont d’Oullins vendredi après-midi, à l’initiative de l’association Ni Putes ni Soumises. La jeune fille a été retrouvée calcinée dans la cave de son immeuble. Son frère a été mis en examen pour homicide volontaire. Il nie les faits mais le parquet de Lyon est convaincu de sa culpabilité. L’adolescent de 17 ans n’aurait pas accepté le mode de vie de sa sœur aînée. De son côté, le père de la famille déclare vouloir que la justice soit faite, mais il refuse que cette affaire soit exploitée à des fins politiques ou religieuses.
Une information judiciaire ouverte dans la Loire
Le parquet a ouvert une information judiciaire contre X pour homicide involontaire après le décès par pendaison d'un jeune homme dans un commissariat de l'agglomération stéphanoise. Par ailleurs, la seconde autopsie confirme l’absence de violence. 200 hommes des forces de l'ordre vont sécuriser jusqu’au 14 juillet, la commune de Firminy où des violences urbaines ont sévi ces dernières nuits.
Une marche en hommage à Fatima
Une centaine de personnes s’est rassemblée sur le Pont d’Oullins vendredi d’après-midi, à l’initiative de l’association Ni Putes ni Soumises. La jeune fille a été retrouvée calcinée dans la cave de son immeuble. Son frère a été mis en examen pour homicide volontaire. Il nie les faits mais le parquet de Lyon est convaincu de sa culpabilité. Le mobile reste flou, l’adolescent de 17 ans n’aurait pas accepté le mode de vie de sa sœur aînée. De son côté, le père de la famille déclare vouloir que la justice soit faite, mais il refuse que cette affaire soit exploitée à des fins politiques ou religieuses.
Firminy va recevoir un dispositif de sécurité exceptionnel
Le maire de cette commune de la Loire s’est entretenu avec le ministère de l’Intérieur vendredi. Un "dispositif de sécurité exceptionnel" doit être mis en place dès ce soir à Firminy, qui a été le théâtre de 3 nuits de violences. Des jeunes et les forces de l’ordre se sont de nouveau affrontés la nuit dernière, un centre commercial a été incendié et six personnes ont été interpellées. Ces violences interviennent après le suicide en garde à vue d’un jeune du quartier. Une deuxième autopsie a été ordonnée par le Parquet. La première avait conclu au suicide, écartant ainsi la thèse d'une bavure.
Le frère de la jeune femme retrouvée calcinée à Oullins mis en examen
Cet adolescent de 17 ans a été écroué jeudi pour "homicide volontaire". Il est soupçonné d’avoir tué sa sœur de 22 ans avant de brûler son corps. Elle avait été découverte le 1er juillet par des pompiers qui intervenaient sur un incendie volontaire dans une cave près du quartier de la Saulaie. Le mobile reste flou mais le jeune frère, décrit comme un garçon "violent" et "religieux", n’aurait "pas accepté le mode de vie de sa sœur aînée". Les soupçons des enquêteurs se sont dirigés vers lui car il présentait des brulures aux jambes, mais lui continue de nier les faits. Cette affaire a provoqué une vive émotion dans le quartier. L’association "Ni Putes ni soumises" organise un rassemblement en hommage à la victime vendredi à 13h30 sur le Pont d’Oullins. De son côté, le père de la famille déclare, dans les colonnes du Progrès, vouloir que la justice soit rendue, mais il refuse que cette affaire soit exploitée à des fins politiques ou religieuses.
Troisième nuit d'échauffourées à Firminy dans la Loire
Jeunes et policiers se sont de nouveau affrontés dans la nuit de jeudi à vendredi. Un centre commercial a été incendié et six émeutiers ont été interpellés, selon la préfecture. Ces nouvelles violences interviennent après la mort du jeune Mohamed mercredi. Il a été retrouvé pendu dans sa cellule de garde à vue lundi au commissariat du Chambon-Feugerolles, avant de succomber à ses blessures à l’hôpital. Sa famille et les jeunes du quartier parlent d’une bavure, mais le parquet de Saint-Etienne a confirmé jeudi le suicide après autopsie du corps.
L’enquête se poursuit après le meurtre aux Minguettes mercredi après-midi
Un homme de 32 ans a été retrouvé mort dans son appartement du 11 de la rue Gaston Monmousseau à Vénissieux. L’autopsie du corps a montré jeudi que l’agression avait été particulièrement violente. Une trentaine de traces de coups de couteau ont été découverts. Règlement de compte ou acte gratuit ? Les hommes de la division criminelle de la Police Judiciaire de Lyon mènent leurs investigations dans l’entourage de la victime, un chômeur sans histoire. Pour l’instant aucune piste n’est privilégiée.
Encore quelques violences mercredi soir près de Saint-Etienne
Malgré les appels au calme de la famille, cinq voitures et l’annexe d’un centre social ont été incendiées dans la banlieue de Firminy, dans la Loire. Mais il n’y a pas eu d’affrontements avec les forces de l’ordre. Un important dispositif policier avait été mis en place dans le secteur pour éviter que les échauffourées de la veille ne se reproduisent. Les jeunes du quartier sont en colère suite à la mort mercredi d’un jeune homme de 21 ans, Mohamed Benmouna, qui avait tenté de se suicider lundi soir alors qu’il était en garde à vue au commissariat du Chambon-Feugerolles. Ces jeunes parlent d’une bavure. Le procureur de la République de Saint-Etienne a promis qu’une autopsie sera pratiquée sur le corps de la victime. Elle avait été interpellée dans le cadre d'une affaire de tentative d'extorsion de fonds.
Un meurtre mystérieux dans le quartier des Minguettes à Vénissieux
Un homme de 32 ans a été retrouvé mort mercredi après-midi dans son appartement du 11 de la rue Gaston Monmousseau. Son corps avait été frappé de plusieurs coups de couteau. C’est sa mère, inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles alors qu’elle l’attendait, qui l’a découvert sans vie vers 16h. La division criminelle de la PJ de Lyon a été saisie de l’enquête. Elle a pratiqué dès mercredi soir des relevés scientifiques sur la scène du crime et elle a entamé les auditions. La victime était un chômeur sans histoire. Aucune piste n’est pour l’instant privilégiée.
Rebondissement dans l’enquête sur la mort d’une jeune femme à Oullins
Son corps calciné avait été découvert mercredi dernier au fond d’une cave, une jambe attachée par un tuyau d’arrosage. Son frère a été placé en garde à vue. Les soupçons des enquêteurs se sont orientés vers lui en raison des graves brûlures aux jambes dont il souffre. Mais cet adolescent de 17 ans nie toute implication dans la mort de sa sœur. Il pourrait être présenté jeudi à un juge d’instruction dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour assassinat.
Un adolescent interpellé sept mois après les manifestations lycéennes
Ce garçon de 14 a avoué sa participation aux violences qui ont éclaté en marge du mouvement lycéen, le 18 décembre 2008. Ce jour là, des groupes de jeunes avaient retourné et incendié plusieurs voitures, et avaient affronté les forces l’ordre sur la place Jean-Macé, dans le 7e arrondissement. La police est parvenue à le retrouver et à l’arrêter mardi. Les enquêteurs se sont basés sur les images prises sur un téléphone portable qu’a retrouvé un enseignant de Vaulx-en-Velin. L’adolescent sera convoqué devant le juge des enfants en octobre.
Une macabre découverte à Roanne
Une trentenaire a été découverte morte chez elle mercredi par les pompiers. La victime avait été partiellement dévorée par ses chiens. Le décès semble remonter à plusieurs jours. Une enquête a été ouverte par le procureur de Roanne pour connaître les causes exactes de la mort. Une autopsie doit être également réalisée dans les prochaines heures.
La mort du jeune qui a tenté de se suicider pendant sa garde à vue
Le jeune homme d'une vingtaine d'années qui a tenté de se suicider lundi lors d’une garde à vue dans la Loire est décédé mercredi. Il avait été hospitalisé dans un état grave après avoir tenté de mettre fin à ses jours, dans sa cellule, au commissariat du Chambon-Feugerolles alors qu’il était retenu dans le cadre d'une affaire de tentative d'extorsion de fonds. Un évènement qui a entraîné dans la nuit de mardi à mercredi des échauffourées entre les policiers et une soixantaine de jeunes à Firminy, mais aussi au Chambon-Fougerolles et à La Ricamerie. Une trentaine de voitures ont été incendiées et des magasins ont été saccagés. Neuf jeunes ont été interpellés. Le procureur de la République de Saint-Etienne écarte la thèse d’une bavure et a saisi l'Inspection générale de la police nationale.
Appel au calme après une nuit d'échauffourées à Firminy
Ce sont les parents du jeune homme qui a fait une tentative de suicide dans un commissariat de la ville qui ont lancé à la mi-journée cet appel. Leur fils, qui avait été placé en garde à vue pour une affaire d’extorsion de fonds, avait tenté de se pendre dans sa cellule, et il est aujourd’hui en état de mort clinique. Un évènement qui a entraîné la nuit dernière des échauffourées entre les policiers et une soixantaine de jeunes à Firminy, mais aussi au Chambon-Fougerolles et à La Ricamerie. Neuf jeunes ont été interpellés à la suite de ces incidents qui n'ont pas fait de blessés mais causé d'importants dégâts matériels : une trentaine de voitures ont été incendiées et des magasins ont été saccagés. Pour la maire de Firminy, Marc Petit, les casseurs sont des "personnes extérieures au département venues pour saccager". Le procureur de Saint-Etienne écarte quant à lui la piste de la bavure policière, et évoque le mauvais état de la cellule, très abimée. Une enquête a été confiée à l'Inspection générale de la police nationale.
Des incidents à Firminy dans la Loire
Des jeunes ont incendié, dans la nuit de mardi à mercredi, des véhicules et des poubelles, et ont affronté les forces de l’ordre. Ces échauffourées ont éclaté dans le quartier d’où est originaire un gardé à vue qui a tenté de se suicider lundi au commissariat du Chambon-Feugerolles. Ce jeune homme d'une vingtaine d'années s’est pendu dans sa cellule. Transporté à l’hôpital de Saint-Etienne, il est dans un état grave. Il était retenu dans le cadre d'une affaire de tentative d'extorsion de fonds. Le procureur de la République de Saint-Etienne a saisi l'Inspection générale de la police nationale pour déterminer les circonstances exactes de cette tentative de suicide.