Eric Pelet
Avocat.
Né le ?
Ancien secrétaire départemental du RPR.
Au sujet de Eric Pelet
Du Bleu qui tâche
Les espagnols connaissent une crise économique plus grave que celle qui affecte la France mais leurs footballeurs prennent toujours plaisir à jouer, ce qui n’est pas le cas des nôtres. La séquence qui va de l’Euro 2008 à l’Euro 2012 en passant par la coupe du monde 2010 est révélatrice de l’état d’esprit calamiteux qui s’est installé dans la sélection nationale de football à la différence, fort heureusement, d’autres sports comme le handball, le rugby ou la natation. L’explication sportive reviendra aux nombreux commentateurs du foot, légion de spécialistes qui envahissent les plateaux des télés et radios, et dont l’expression éphémère leur permet souvent de se contredire d’un jour à l’autre sans que personne n’y prête attention.
La vie en rose
Les Français ne font plus les choses à moitié. Cette nouvelle alternance, comparable à celle de 1981, démontre qu’ils ne voulaient plus de la cohabitation, déjà expérimentée dans des mandatures précédentes. Cette victoire très importante du parti socialiste et de ses alliés était déjà en germe dans le succès des primaires de l’automne dernier, décrite dans ces colonnes comme "un essai transformé."
Une mauvaise impression
La première impression est la bonne, proclame la sagesse populaire. Nicolas Sarkozy aurait du méditer ce dicton en mai 2007 avant d’organiser sa fête de victoire présidentielle au Fouquets, puis de gagner le yacht de Bolloré pour quelques jours de repos. Ces deux images le poursuivirent tout le temps de son mandat, servant même de support récurrent à ses opposants pour le discréditer aux yeux de l’opinion publique. Il est d’ailleurs étonnant que l’entourage du président sortant n’ait jamais pu effacer ces deux faux symboles du quinquennat naissant, démontrant par exemple que le coût de location de la très chic Maison de l’Amérique latine par Ségolène Royal était largement supérieur à celui du cocktail offert pour 60 personnes par les amis du vainqueur. Mais ceci appartient désormais à la petite histoire de la République.
La passation
S’il y a un événement auquel nous ne pourrons pas assister, c’est bien celui de la passation de pouvoir entre le président sortant et le président élu. Les chaînes de télévision nous ont désormais habitués à tout voir en direct, en temps réel, nous offrant de surcroît le don de l’ubiquité comme le soir de l’élection où nous passions de Tulle à la place de la Bastille, en un éclair de télécommande.
Place de la Bastille
31 ans que le peuple de gauche n’avait pas fait la fête à la Bastille. Ce très long intermède expliquait la liesse, les chants et les rires alors qu’une autre France défaite, ravalait son amertume et observait le camp adverse fêter sa victoire avec selon un regard triste, intrigué ou incrédule. Cette soirée aura pourtant marqué une alternance apaisée, pas de discours revanchards des ténors socialistes (même de Mélenchon !), une allocution de départ digne et sincère de Nicolas Sarkozy qui sortira grandi de cette campagne, un nouveau président exprimant une joie mesurée sans triomphalisme, soucieux déjà, selon son expression, des énormes défis à relever. La République est solide et le peuple est souverain.
Un débat beau comme l'Antique
Combien de téléspectateurs seront devant leur écran mercredi soir ?
Qualifié
François Hollande et Nicolas Sarkozy se sont qualifiés pour le second tour de l’élection présidentielle.
Drôle de fin de campagne
Les sondages de premier tour s’affolent comme les aiguilles d’une montre qui se croiseraient sans logique.
Collomb n’a pas peur de Mélenchon
Il y a une chose que l’on ne peut pas reprocher à Gérard Collomb c’est son franc-parler.
Hollande ou le fardeau du favori
François Hollande se trouve aujourd’hui dans la situation délicate d’un compétiteur en charge de gagner une épreuve dont il est favori depuis plusieurs mois.
L’ennemi intérieur
Il faudra bien admettre un jour qu’une infime catégorie de la population française vit, travaille, se déplace sur notre territoire comme le commun des citoyens, tout en poursuivant clandestinement un projet belliciste à l’encontre de leur propre pays.
Fini-Parti
Avec leur grève qui n’en finit pas, les éboueurs lyonnais ont attiré l’attention sur cette fameuse règle du fini-parti, qui leur permet de quitter leur chantier dès que le travail est fait et les rondes terminées.
Le mal aimé
L’impressionnant meeting de Villepinte et sa démonstration d’un rapport fusionnel entre Sarkozy et les militants de l’UMP ne suffiront pas à dissiper que le président candidat est affecté d’un chagrin.
Mélenchon ou le bourgeois méchanthomme
Jean-Luc Mélenchon doit vraiment jubiler.
Dujardin gagne la présidentielle du cinéma
Rafler cinq Oscars, dont celui du premier film, dans le saint des saints du cinéma mondial c’est une victoire historique, sans précèdent, qui mérite d’être saluée surtout lorsqu’on habite la ville des frères Lumière.
L'artiste en piste !
This is it ! L’artiste est en piste et la campagne vraiment lancée !
Nora qu'à bien se tenir
Le feuilleton de la circo’ Eldorado comme je l’avais baptisée dans un précédent édito ne fait semble-t-il que commencer.
La barbarie au coin de la rue
Chacun d’entre nous a forcement eu une pensée de compassion ce week-end, en apprenant le décès de l’homme qui avait été sauvagement agressé une semaine auparavant sur le quai Romain Rolland.
La cruauté du temps présidentiel
Le principal adversaire de Nicolas Sarkozy, c’est l’accélération du temps.
Les Valoisiens attaquent !
L’annonce mardi dernier par Bernard Fialaire de la candidature des radicaux valoisiens dans sept circonscriptions du Rhône a dû faire l’effet d’une bombe dans les fédérations du PS et UMP. Sachant que les Valoisiens s’uniront au Nouveau centre qui guigne également six postes de députés dans le département, les réunions de crise ont dû se multiplier dans les états majors où l’on a dû ressortir les calculettes mais également divers grigris (trèfle à quatre feuilles, amulettes, patte de lapin et fer à cheval) pour conjurer ce mauvais sort fait aux habituels adversaires de droite et de gauche.
La circo' Eldorado !
La quatrième circonscription du Rhône, devenue vacante suite à la décision de Dominique Perben de renoncer à la vie élective, suscite moult désirs et enflamme les passions au point de symboliser un véritable eldorado.
Le tour de manège de François Bayrou
Les médias sont devenus, à la longue, de bons clients de François Bayrou.
Notes et parrainages
Ce que tout un chacun apprécie en quittant le lycée ou la fac, c’est de ne plus être noté.