Manif : une quinzaine de lycéens poursuivis à Lyon
Une quinzaine de lycéens interpellés jeudi à Lyon après une manifestation agitée contre la réforme du lycée, vont être poursuivis, notamment pour dégradations mais aussi fabrication et détention d'explosifs. Ils seront cités en comparution directe.
Manifestation des lycéens : Collomb lance un appel au calme
Plus de 5 500 lycéens ont manifesté jeudi 18 décembre dans les rues de Lyon. Des manifestations marquées par de nombreuses dégradations : vitrines brisées, poubelles incendiées, destructions de véhicules... Cinq policiers ont été blessés suite à des jets de pierres et de canettes. Du coup, Gérard Collomb a lancé un appel au calme dans l’après-midi, tout en dénonçant ces actes de vandalisme. Il a également demandé aux organisateurs de ces manifestations “la plus grande vigilance” pour ne pas être “instrumentalisés par des personnes qui souhaitent d’abord le désordre.”
Les lycéens se mobilisent
La FiDL appelle à un rassemblement des lycéens lyonnais ce jeudi matin à partir de 11h sur la place des Terreaux, pour obtenir le retrait total de la réforme sur les lycées, que le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos a simplement reporté. Hier, en marge des rassemblements, une douzaine de jeunes ont été interpellés pour des jets de projectiles, des feux de poubelles ou des dégradations.
Une dizaine de lycées lyonnais bloqués
Une dizaine de lycées étaient bloqués mardi à Lyon et dans l'agglomération lyonnaise, et plusieurs centaines de lycéens ont manifesté en fin de matinée.
Manifestation étudiante : un lycéen blessé près de Lyon
Un adolescent de 16 ans a été blessé lundi au cours d'une manifestation lycéenne à Villeurbanne.
Manif des enseignants : 6 000 personnes dans la rue
Un cortège de 6 000 manifestants, dont une majorité d'enseignants, s'est rendu jeudi après-midi de la place Gabriel Péri à la place Bellecour pour protester contre les suppressions de poste et la politique éducative du gouvernement.
Manif : 200 magistrats et avocats rassemblés devant le tribunal
Près de 200 magistrats et avocats ont manifesté jeudi après-midi devant le tribunal de grande instance de Lyon, situé rue Servient dans le 3e arrondissement, dans le cadre d'une journée d'action nationale contre la politique de la ministre de la Justice Rachida Dati. Deux pancartes étaient tenues par les manifestants indiquant "Dati, le contrat de défiance" et "Dati, halte au mépris". Parmi les magistrats, on notait la présence du président du TGI, Pierre Garbit, et celle du procureur de la République Xavier Richaud. "Notre moral est assez atteint, parce que nous nous sentons traités comme des boucs émissaires. On a l'impression qu'il y a une politique (judiciaire) de fond et à la fois une politique qui navigue au gré de l'émotion du moment (...), des évènements médiatiques. Un jour, on va critiquer les magistrats, un autre, on va les porter aux nues", a déclaré Pierre Garbit à l'AFP, avant d'ajouter : "Dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu de rassemblement aussi important de magistrats." Conséquence de cette manif : certaines audiences civiles ont été reportées. Alors que les audiences pénales ont été maintenues.
Manifestation contre le fichier EDVIGE
Environ 500 personnes ont défilé hier soir, jour de la sainte Edwige, dans les rues de Lyon. Ils protestaient contre la création du nouveau fichier informatique de renseignements sur les responsables politiques, associatifs et syndicaux. Dans un premier temps baptisé EDVIGE, ce fichier qui avait suscité l’indignation de l’opinion publique notamment à cause du fichage de l’orientation sexuelle des personnes, a donné lieu après révision du gouvernement au fichier EDVIRSP (Exploitation documentaire et Valorisation de l’Information Relative à la Sécurité Publique). Mais les opposants à EDVIGE se disent autant indignés par le nouveau fichier.
Social : 1 200 à 3 000 manifestants à Lyon
3 000 salariés du secteur sanitaire et social selon les organisateurs, 1 200 selon la police, ont manifesté mardi à Lyon pour défendre leur pouvoir d’achat et leurs conventions collectives. "Depuis 1999, la perte de pouvoir d'achat des salariés est supérieure à 12%, en raison des mesures d'austérité salariale et des revalorisations misérables de la valeur du point des grilles de salaires de nos secteurs", explique notamment l'intersyndicale dans un communiqué. Les manifestants ont donc défilé de la préfecture à la place de l'Hôtel de Ville. Avec comme mots d’ordre "Fillon des millions, pas pour les banques mais pour ceux qui en manquent", "Augmentez nos salaires !"...
Rassemblement pour soutenir deux manifestants lycéens
Le mardi 24 juin à 14h, deux lycéens qui militent au sein de SUD Lycéen 69, sont convoqués devant le tribunal pour enfant. La justice leur reproche d’avoir résisté lors d’une interpellation. En effet, le 22 mai, 300 lycéens qui s’étaient joints à une manifestation pour la défense des retraites, ont continué à défiler dans les rues du 3e arrondissement pour rejoindre le lycée Ampère-Saxe. C’est alors que des policiers en civil de la BAC étaient intervenus pour dissiper la manifestation. Douze jeunes avaient été interpelés et emmenés au commissariat du 6e. Deux d’entre-eux sont poursuivis devant le tribunal pour enfant pour avoir refusé de se soumettre à un prélèvement ADN. Le syndicat SUD organise un rassemblement de soutien mardi, à partir de 13h30, devant le Palais de justice situé rue Servient dans le 3e arrondissement.
Le port Edouard Herriot bloqué par des agriculteurs
Environ 250 agriculteurs bloquent depuis lundi 22h les accès au port Edouard Herriot de Lyon pour protester contre la hausse des prix du gazole.
Circulation : les routiers reçus par le Préfet
Près de 450 transporteurs routiers ont mené lundi à Lyon une opération escargot avant d'être reçus par le préfet du Rhône pour interpeller le gouvernement sur la hausse des prix du gazole.
Retraite : entre 8 500 et 12 000 manifestants à Lyon
Entre 8 500 et 12 000 personnes ont défilé dans les rues de Lyon jeudi 22 mai pour manifester contre la réforme des retraites et l’allongement de la durée de cotisation à 41 ans. Dans le cortège, on notait la présence de nombreux salariés et retraités du public : enseignants, personnels hospitaliers, agents des impôts... Mais aussi du privé, dont des salariés de Renault Trucks et de Bouygues Télécom. Des centaines de lycéens se sont également joint à la manifestation. A noter qu'en marge de ces manifestations, des lycéens ont été arrêtés . D’après les syndicats FSU, CGT éducation, SUD éducation et CNT éducation, les forces de l’ordre ont tiré avec des flash-ball sur les jeunes manifestants, qui ont ensuite été placés en garde à vue. Les syndicats ont écrit au préfet pour dénoncer cette “répression disproportionnée”.
Entre 5 000 et 10 000 manifestants jeudi à Lyon
5 000 selon la police, 10 000 selon les organisateurs, c’est le nombre de participants aux manifestations jeudi matin dans les rues de Lyon pour défendre les services publics à l’appel de la CGT, CFDT, UNSA et FSU. En majorité lycéens et enseignants, les manifestants sont partis de la place Bellecour en direction de la Préfecture. Et aucun incident n’a été enregistré. En revanche, à Grenoble, après la manifestation qui a réuni entre 7 000 et 15 000 personnes, des incidents ont éclaté entre lycéens et forces de l’ordre. Selon la police, près de 2 000 lycéens se sont dirigés de la Préfecture vers la gare où ils ont été bloqués par une soixantaine de gendarmes mobiles. Les lycéens ont alors lancé des projectiles en direction des policiers qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène. Ces affrontements se sont poursuivis jusqu’en fin d’après-midi et trois lycéens ont été interpellés. Plus tôt dans la journée, une première manifestation non déclarée avait déjà donné lieu à des affrontements. Dix personnes, dont trois gendarmes, avaient été bléssées et quatre lycéens interpellés.
1er mai : près de 5 000 manifestants à Lyon
Entre 2 700 personnes selon la police et 5 000 selon les organisateurs, ont manifesté le 1er mai à Lyon pour la défense des retraites et du pouvoir d'achat. A l'appel de la CGT, la CFDT, l'UNSA, la FSU et Solidaires, les manifestants, parmi lesquels une cinquantaine de lycéens, quelques militants de Réseau éducation sans frontière et des anarchistes de la CNT, se sont rendus de la place Jean-Macé à la place Bellecour.
300 lycéens dans les rues de Lyon
A l'appel de la FIDL et de l'UNL, près de 300 lycéens ont manifesté mardi 29 avril pour protester contre les supressions de postes dans l'Education nationale et la réforme du Bac Pro. Alors qu'ils étaient plus de 1 000 avant les vacances.
Alix Nicolet : "On attend 3 000 lycéens dans les rues de Lyon"
Elève en seconde au lycée Robert-Doisneau de Vaulx-en-Velin, Alix Nicolet a été élue il y a trois mois à la tête de la FIDL, la Fédération indépendante et démocratique lycéenne. Etat des lieux du mouvement lycéen.
Manifestation des lycéens à Lyon
Plus de 1 000 lycéens ont défilé jeudi dans les rues de Lyon, entre la place Bellecour et la place Guichard, pour protester contre les suppressions de postes dans l'Enseignement prévues pour la rentrée prochaine.
Manifestation à Lyon pour pour la régularisation des sans-papiers
Entre 1 500 et 2 000 personnes ont manifesté samedi après-midi à lyon entre la place des Terreaux et Bellecour pour réclamer la régularisation des sans-papiers mais aussi contre la politique d'immigration du gouvernement. Notamment l’arrêt des objectifs chiffrés d’expulsions. La manifestation était composée de représentants de Réseau éducation sans frontière de militants de la LCR, de Lutte Ouvrière, du CNT ou de la Ligue des droits de l'Homme. Parmi les slogans : "Sans-papier traqué, sans-papier noyé" qui faisait référence à la noyade d’un Malien sans-papier vendredi à Joinville-le-Pont. Cet homme, sous le coup d'un arrêté de reconduite à la frontière, s’était jeté dans la Marne pour échapper à un contrôle de police.