Encore des Roms expulsés à Lyon
Cela s'est passé dans le 7e arrondissement.
Lyon : une manifestation de soutien pour les Roms
Elle aura lieu mercredi à 14h30 place Jean Macé devant la mairie du 7e arrondissement.
Villeurbanne : expulsion d'une douzaine de famille de Roms
Environ 80 personnes ont été délogées par les forces de l'ordre jeudi dans le parc de la Feyssine.
Roms : nouvelle expulsion mardi matin, cette fois à Saint-Priest
Près de 120 Roms ont été évacués mardi matin par la police à St-Priest.
Une nouvelle expulsion de Roms à Lyon
Elle a eu lieu mardi vers midi dans le 9e arrondissement.
Des gens du voyage expulsés vendredi près de Lyon
Ils étaient installés dans des caravanes sur un terrain de Marcy-l'Etoile.
Le groupe communiste & Citoyens du Grand Lyon juge "inhumaines" les expulsions des Roms
Cette déclaration fait notamment suite à l’évacuation par la police mardi du squat de la rue Montesquieu à Lyon.
Un député du Rhône demande une renégociation des traités sur les Roms
Philippe Meunier, élu UMP dans la 13e circonscription du département s’est adressé samedi par communiqué au président François Hollande.
Une nouvelle expulsion de Roms prévue vendredi matin à Lyon
Après Vaulx-en-Velin et Villeurbanne en début de semaine, c'est au tour du squat de la Rue Montesquieu dans le 7e arrondissement de faire l'objet d'une décision de justice. Vendredi matin, une cinquantaine de Roms qui avaient trouvé refuge dans un ancien immeuble depuis près d'un devront quitter l'emplacement. Le Grand Lyon, qui est propriétaire des lieux, avait décidé d'attendre la fin de l'année scolaire pour appliquer la décision de justice. L'immeuble sera ensuite vendu à un promoteur pour y réaliser 18 logements sociaux. Selon l'association Habitat et Humanisme, la majorité des familles ont trouvé un nouveau logement. A noter que 240 Roms doivent ce jeudi quitter le territoire français, par l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry, dans le cadre du programme d'aide au retour dans le pays d'origine. Ils étaient installés à Lyon et Saint-Etienne.
Une expulsion de Roms mardi matin à Villeurbanne
Environ 80 Roms, dont la moitié sont des enfants, ont été expulsés d’un terrain vague de Villeurbanne, situé 211 Rue Roger Salengro. Selon des militants associatifs présents sur place, une quarantaine de policiers en uniforme mais aussi en civil, des policiers de l’air et des frontières ainsi qu’un agent des forces de l’ordre roumaines et un traducteur sont arrivés vers 7h20 pour leur notifier leur expulsion, décision de justice à la main. La majorité de ces Roms s’était installée sur ce terrain, après être partis dans la nuit de lundi à mardi de leur squat de l’Avenue Grandclément à Vaulx-en-Velin. Ils étaient partis avec quelques bâches et palettes pour se reconstituer un bidonville. Toujours selon les militants, la police qui a pratiqué des contrôles d’identité, n’a recensé personne en situation irrégulière.
L'expulsion du squat sous Perrache prévue tôt lundi matin
Environ 80 immigrés sans-abris, dont la moitié d'enfants, y sont installés depuis plusieurs mois, dans un lieu qui ressemble de plus en plus à un bidonville en plein centre de Lyon. Un arrêté d'occupation illicite avait été pris par la justice en janvier, et ce week-end la police a prévenu les occupants de l'expulsion du site vers 6h lundi matin. Certaines familles soutenues par des associations ont prévu de se rassembler devant la Maison du Rhône pour demander une solution d'hébergement d'urgence.
"Pas d'expulsion sans relogement"
C'est le mot d'ordre de la manifestation organisée samedi par Demeurant partout. Avec la fin de la trêve hivernale, l'association dénonce la reprise des expulsions locatives, en même temps que la fermeture des centres d'hébergement d’urgence et entend défendre le droit au logement. La manifestation partira à 11h samedi de Guillotière dans le 7e arrondissement de Lyon.
Une famille arménienne menacée d'expulsion dans le Rhône
Des parents d'élèves et des enseignants se mobilisent contre l'expulsion d'une famille arménienne dont les enfants sont scolarisés à Décines.Une manifestation est prévue à 16h30 ce mardi, à la sortie de l'école la Berthaudière. Ils soulignent le fait que les parents soient bien intégrés, parlent français, et que les enfants soient nés en France. Ils demandent l'obtention d'un titre de séjour afin de permettre aux enfants de suivre leur scolarité.
Vers l'expulsion cette semaine de plusieurs familles Roms à Villeurbanne
63 personnes, dont la moitié d'enfants, occupent depuis deux mois une friche industrielle rue Eugène-Pottier. Le tribunal d'instance a ordonné l'expulsion de ce squat, le 2e plus important de la ville. Selon Le Progrès, le site, déjà squatté par le passé, croule sous les détritus.
Les élèves du lycée professionnel François Cevert d'Ecully se mobilisent pour leur camarade Hakim
Le rassemblement est organisé mercredi matin. Une petite centaine de personnes veulent apporter leur soutien à Hakim, un élève marocain de 18 ans, scolarisé en 1ère. Il est menacé d'expulsion et doit comparaître à 14h devant le tribunal administratif de Lyon. Une nouvelle manifestation de soutien sera prévue avant l'audience.
90 Roms conduits à l'aéroport St-Exupéry mardi
C'est Le Progrès qui révèle les faits. Ces familles originaires de Roumanie ont accepté l'aide au retour humanitaire. Elle se sont vu remettre une somme d'argent par l'Office français de l'immigration et de l'intégration en échange de leur retour dans leur pays. Ces Roms occupaient apparemment des squats à Vénissieux et Saint-Fons.
Certains Roms de Vénissieux seront reconduits à la frontière
Mercredi soir, 63 personnes d’origines roumaines avaient dû quitter leur squat dans les anciens locaux de l’entreprise Barut, avenue de la république, après un incendie qui s’était déclaré vers 18 h.
Le ressortissant congolais retenu au centre de rétention de Lyon a été libéré
Roger N'Zenbélé a quitté jeudi à 16h le centre de rétention administrative où il était retenu depuis le 28 mars.
Une marche organisée lundi après-midi à Vénissieux
Elle est organisée en soutien à un père de famille congolais sans papier dont la justice a confirmé jeudi dernier le maintien en détention.
Petit sursis pour un lycéen tunisien menacé d'expulsion
La préfecture a finalement décidé de libérer ce jeune Tunisien de 20 ans placé au centre de rétention de St Exupéry, et lui donne le droit de finir ses études au lycée Tony Garnier de Bron. Mais une fois son CAP en poche, il devra quitter le territoire français le 15 juillet au plus tard. Mardi après-midi encore, 80 de ses camarades ont manifesté à Lyon pour lui montrer son soutien.