C’était une première en France. L’Etat français avait été condamné en juin 2015 pour faute lourde par la cour d’appel de Paris pour des "contrôles au faciès".
Ce mercredi, les 13 personnes qui estimaient avoir été contrôlés par des policiers à cause de leur apparence vont retrouver le chemin du tribunal, plus d'un an après avoir été déboutés en première instance.