Philippe Meunier invité dans le comité stratégique de Nicolas Sarkozy
Le député UMP du Rhône se trouvait jeudi à la réunion censée organiser les priorités de la campagne du président-candidat.Selon le Progrès, il est l’un des rares à ne pas être une personnalité phare du parti. Parmi les 25 membres du comité, on retrouve également les anciens candidats Hervé Morin, Christine Boutin et Frédéric Nihous.Philippe Meunier doit notamment sa présence au fait qu’il représentait la tendance Droite Populaire qui est portée par une quarantaine de députés.
Philippe Meunier demande la démission du directeur de France Culture
Le député du Rhône Philippe Meunier critique le directeur de France Culture dans un communiqué de presse envoyé ce vendredi. Il titre "France culture : les masques tombent". Le co-fondateur du collectif de la droite populaire remet en cause son "impartialité" politique. Il attend d'Olivier Poivre d'Arvor une ligne éditoriale "plus respectueuse des différentes opinions politiques". Allant jusqu'à lui demander de "démissionner".
Travail dominical : Philippe Meunier (UMP) fait bande à part
Quelques jours après l’annonce du secrétaire d’Etat au Commerce Frédéric Lefebvre, le député du Rhône Philippe Meunier donne son point de vue dans le Progrès.
Saint-Priest : Martine David réelue
La maire PS sortante a battu le député UMP Philippe Meunier.
Saint-Priest : les Verts ne soutiennent pas Martine David
Véronique Moreira, la tête de listes des Verts, a refusé d’apporter son soutien à la maire sortante de Saint-Priest. Les écologistes avaient pourtant recueilli 6,35% des voix au 1er tour. Véronique Moreira estime que Martine David n’était pas prête à lui donner la place que les Verts méritent, notamment une place d’élue à la Communauté urbaine. Alors que Martine David, qui a réalisé un score de 44,44% des voix au second tour, semble persuadée qu’elle peut gagner seule face à son adversaire UMP Philippe Meunier. Elle n’a pas non plus obtenu le soutien d’Habid Darwich, qui se présentait au nom du Modem ni de son ancien adjoint Nasser Kairouani, qui présentait une liste divers gauche. Même schéma à Rillieux-la-Pape où le maire sortant Renaud Gauquelin a refusé toute négociation de fusion avec Yves Durieux, son ex-adjoint Verts à l’urbanisme. Mais celui-ci n’y était pas forcément prêt car les deux hommes se sont heurtés sur plusieurs dossiers au cours de ce mandat. Cela ne devrait pas empêcher Gauquelin d’être réélu puisqu’il était déjà à 46,27% au 1er tour contre 31,64% à son adversaire Jean-François Debiol gêné pendant sa campagne par des problèmes de santé et 7,59% aux Verts. En revanche, à Saint-Fons, Serge Perrin a accepté de fusionner avec Christiane Demontès qui a, elle, promis de donner aux Verts un poste de conseiller communautaire si elle était élue. Mais le résultat du second tour devrait être très serré car le maire sortant Michel Denis a bien résisté avec 45,07% des voix au second tour contre 39,74% à son
Saint-Priest : duel UMP-PS au second tour
La maire PS sortante Martine David arrive en tête avec 44,47%. Ce qui n’était pas gagné d’avance car sa ville a voté à 58% pour Nicolas Sarkozy au second tour de l’élection présidentielle. Son principal adversaire, le jeune député UMP Philippe Meunier recueille quant à lui 38,49 % contre 4,7% au Modem Habid Darwich et 6,36% à l’écologiste Véronique Moreira, 3,5% pour le dissident de droite Michel Collet soutenu par le FN et 2,48 % pour un candidat divers gauche opposant à Martine David. Mais contacté par lyonmag.com, Philippe Meunier juge que les “jeux sont encore ouverts pour le second tour” car il estime qu’avec les reports de voix, la maire sortante PS aurait "un potentiel de voix d’environ 51%”. En effet, même si ce n’est pas encore officiel, il espère passer un accord avec le Modem qu’il considère “comme un opposant résolu à Martine David”.
Traité de Lisbonne : Meunier contre Sarkozy
Le député de Saint-Priest a voté contre la ratification du traite de Lisbonne présenté par Nicolas Sarkozy pour compenser le rejet de la constitution européenne par les Français lors du référundum de 2005. “Je suis notamment gêné par trois points qui remettent en cause la souveraineté nationale issue des urnes: une cinquantaine de missions essentielles assurées jusque là par le Parlement vont être confiées à l’Europe comme la sécurité et le contrôle de l’immigration, un ministre des affaires étrangères européenne va être mis en place, ce qui va créer une véritable diplomatie parallèle, et les frontières restent ouvertes, laissant la porte ouverte à une éventuelle entrée de la Turquie”. Mais ce jeune député, également investi par l’UMP pour les élections municipales à Saint-Priest, affirme ne pas craindre une réaction de Sarkozy car sa position sur l’Europe était déjà connue avant son investiture pour les élections législatives.