Condamné en 2012 en Suisse à quatorze ans de prison pour le meurtre de sa belle-mère, Laurent Ségalat s’était alors réfugié en région lyonnaise pour éviter l’incarcération.
Le ministère de la Justice a indiqué aux autorités suisses son refus d’exécuter la peine pour meurtre, prononcée contre le généticien du CNRS de Lyon, Laurent Ségalat.