Empêtré dans une affaire de soupçons d’emploi fictif de l’une de ses filles, Michel Mercier a annoncé ce mardi qu’il renonçait à siéger au Conseil constitutionnel.
Alors que l’Assemblée nationale planche sur ses lois de moralisation de la vie publique, l’entrée de Michel Mercier au Conseil constitutionnel, ex-sénateur et président du Conseil général du Rhône, a été votée ce mercredi malgré les soupçons d’emploi fictif de l’une de ses filles. Parallèlement à ces deux événements, la CANOL a publié certaines recommandations.
Selon le Canard Enchaîné, le sénateur centriste du Rhône Michel Mercier, sur le point de rentrer au Conseil constitutionnel, aurait eu recours à des emplois familiaux.