Pub géante vandalisée sur la place Bellecour : la bâche rapporte jusqu'à 3000 euros par mois à la Ville de Lyon
Trois jours après la détérioration de la bâche publicitaire installée place Bellecour par des militants d'Extinction Rébellion, l'entreprise en charge du dispositif monte au créneau.
Nouvelle action des militants anti-pub à Lyon
Après les Ghostbusters, voici les PubBusters. Une action anti-pub a été menée ce samedi à Lyon.
Lyon : une banderole anti-pub accrochée place Bellecour
Des activistes du collectif Youth for Climate Lyon ont déroulé, dans la nuit de vendredi à samedi, une banderole anti-pub par-dessus le panneau publicitaire mural à l’angle de la rue Gasparin.
Lyon : un militant anti-pub interpellé au pied de l’Hôtel de la Métropole
Ce dimanche après-midi, des militants anti-pub ont défilé dans les rues de Lyon.
Les anti-publicités s'attaquent à la rue de la République
Ces militants du Parti de gauche se sont occupés des lumières de certaines enseignes de l'artère lyonnaise samedi soir. En les éteignant, la trentaine de militants espérait ainsi dénoncer la publicité menant à la consommation excessive. Après leur intervention nocturne, les jeunes du Parti de gauche entendent continuer leurs actions dimanche dans le métro et en organisant un débat sur les discriminations et l'extrême-droite à Vaulx-en-Velin.
Les anti-pub rejugés en appel le 14 mai
Reconnus coupables de “dégradations légères” pour avoir écrit “Consomme, pollue” sur une affiche publicitaire cours Vitton dans le 6ème arrondissement le 27 janvier 2007, deux membres du collectif Les Déboulonneurs qui avaient été dispensés de peine vont pourtant être rejugés le 14 mai prochain, suite à l’appel du procureur. Raphael Colombier, 21 ans, étudiant en sociologie, et Bertille Darragon, 29 ans, coordinatrice dans une association, risquent 1 500 euros d’amende. Les déboulonneurs, un collectif anti-pub créé en 2005, a pour objectif de limiter la taille des affiches publicitaires mais aussi d’interdire les dispositifs lumineux et animés. Tout en dénonçant le manque de transparence dans le contrat passé entre la ville de Lyon et l’afficheur Decaux. Ils taggent donc des affiches une fois par mois à Lyon en revendiquant leurs actions. “On espère être relaxés pour à terme faire évoluer la loi”, a déclaré Bertille Darragon qui insiste sur la légitimité de la désobéissance civile : “L’opinion publique est de notre côté. Selon un sondage IPSOS, 73% des français sont contre une publicité envahissante”.