Majorette devient Smoby Toys
L'accord sur le plan de sauvegarde de l'emploi a été signé jeudi.
Les salariés de Smoby-Majorette toujours mobilisés
Ils ont rendez-vous jeudi à Paris avec le juge commissaire du tribunal de commerce. Les salariés de l’usine de Dagneux dans l’Ain étaient en grève mercredi.
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Smoby : les premières lettres de licenciement ont été envoyées
396 salariés de Smoby ont déjà reçu leur lettre de licenciement. Un plan social qui fait suite à la reprise du numéro 1 français du jouet par l’Allemand Simba le 3 mars. En octobre, Smoby avait été placé en redressement judiciaire à cause d’une dette de 277 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 349 millions d’euros. La nouvelle direction de Smoby veut en effet rentabiliser l’entreprise et réaliser 100 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année.
L'ancien Pdg de Smoby en prison
Soupçonné de malversations financières, Jean-Christophe Breuil, l'ancien Pdg et petit-fils du fondateur de fabricant de jouets Smoby, a été placé en détention jeudi 27 mars après avoir été interrogé par la section financière de la police judiciaire de Dijon.
Quatre candidats à la reprise de Majorette
Quatre entreprises se sont portées candidates pour reprendre Majorette, le fabricant de voitures miniatures fondé par le Lyonnais Emile Véron. Majorette avait été racheté en 2003 par le numéro 1 français du jouet, Smoby. Mais Smoby avait été placé en redressement judiciaire le 9 octobre 2007 et le repreneur de Smoby, l’Allemand Simba, n’a pas repris Majorette. Parmi les candidats à la reprise de Majorette, il y a notamment MI29, qui était d’ailleurs candidat pour reprendre Smoby. Ce fonds d’investissement français est déjà présent dans le secteur du jouet puisqu’il est entré au capital de Bigben Interactive, un éditeur français de jeux vidéo, aux côtés de la Deutsche Bank en 2005. L’offre de MI29 a été plébiscitée par les salariés de Majorette lors d’un comité central d’entreprise. Autre candidat à la reprise, Norev, une entreprise française qui fabrique des voitures miniatures et qui a tenté de reprendre Solido, une filiale de Smoby concurrente de Norev, quand Smoby était en redressement judiciaire. Plus étonnant, Emile Véron, le fondateur de Majorette et âgé de 82 ans, a aussi déposé une offre de reprise. Après avoir créé l’entreprise en 1961, il avait dû déposer le bilan en 1992. Enfin, une entreprise de l’Ain, qui fabrique des répliques miniatures de voitures et de camions, est également sur les rangs. Le tribunal de commerce de Lons-le-Saulnier examinera ces offres lundi 10 mars. Emmanuel Derville
Le groupe allemand Simba nommé repreneur de Smoby
Le tribunal de Lons-le-Saunier a choisi le groupe allemand Simba pour reprendre Smoby, numéro un du jouet en France. Une décision lourde de conséquences pour les salariés. Car si Simba est leader pour le jouet en Allemagne, son plan de reprise ne prévoit de conserver que 401 emplois sur les 1 080 que compte actuellement Smboy en France. Pourtant, les syndicats s’étaient prononcés pour une reprise par la holding grenobloise Abcia. En effet, les syndicats estimaient que Abcia offrait plus de garanties sur l’emploi. D'ailleurs, le tribunal a ordonné la réouverture des débats concernant l'avenir de la société Majorette-Solido, avec laquelle Smoby formait le n°2 européen du jouet, et qui emploie 80 personnes en France. Smoby, qui est en redressement judiciaire depuis octobre, affiche aujourd’hui une dette de 277 millions d'euros et compte 2 300 salariés dans le monde. Alors qu'en 2006, le groupe Simba, une entreprise familiale basée en Bavière, a réalisé un chiffre d'affaires de 360 millions d'euros avec plus d'un millier de salariés.
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Près de 500 emplois menacés chez Smoby
Le tribunal de commerce de Lons-le-Saunier examine cet après-midi les offres de reprises du fabricant de jouets qui emploie plus de 1 100 salariés dans le Jura et l'Ain.
Six repreneurs pour Smoby
Six entreprises ont déposé une offre de reprise de Smoby devant le comité central d’entreprise hier. Reste maintenant au tribunal de commerce de Lons-le-Saulnier à désigner un repreneur. - Simba-Dickie Group, un fabricant allemand de jouet qui a réalisé l’année dernière 340 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise fait partie des 5 premières entreprises européennes du secteur et emploie 1 000 salariés en Allemagne, à Hong Kong et dans une vingtaine de pays. Elle veut reprendre toutes les marques du groupe Smoby, à l’exception d’Ecoiffier, une marque de jouet d’entrée de gamme. - La holding Abcia, qui est basée à Grenoble et qui avait réalisé en 2006 un chiffre d’affaires de 160 millions d’euros avec 1 680 salariés. Abcia a des participations dans une dizaine d’entreprises spécialisées dans le service aux entreprises, les emballages plastiques et les biens d’équipement pour les particuliers. Elle s’est associée avec le fonds de retournement Caravelle et propose de reprendre l’ensemble des activités de Smoby à l’exception de Majorette. - Le fonds d’investissement français MI29. Ce n’est pas la première fois que ce fonds investit dans le secteur du jouet puisqu’il était entré au capital de Bigben Interactive, un éditeur français de jeux vidéo, aux côtés de la Deutsche Bank en 2005. MI29 est le seul repreneur qui accepte de reprendre l’ensemble des activités du groupe. - Norev, une entreprise française qui fabrique des voitures miniatures. Elle souhaite reprendre Solido, une filiale de Smoby concurre
Les repreneurs de Smoby seront connus le 30 janvier
Lors d’un comité central d’entreprise qui s’est tenu hier, les syndicats de Smoby ont indiqué que les entreprises candidates à la reprise du fabricant de jouet seront connues mercredi prochain. En attendant, les syndicats ont fait appel au cabinet d’expertise Secafi Alpha pour faire des contre-propositions au cas où la direction de l’entreprise annoncerait un plan social. Smoby est en redressement judiciaire depuis le 9 octobre 2007. Le groupe, qui a perdu 25,4 millions d’euros en 2006 pour un chiffre d’affaires de 349,5 millions d’euros, avait été racheté à la famille Breuil par le numéro 1 mondial du jouet, l’Américain MGA, l’été dernier. Mais MGA n’avait pas réussi à relancer Smoby, faute notamment d’un accord avec les créanciers pour rembourser la dette de 276 millions d’euros. Du coup, le tribunal de commerce avait décidé de placer Smoby en redressement judiciaire pour que d’autres entreprises puissent reprendre le numéro 2 européen du jouet. Smoby, qui emploie 2 750 salariés dont 1 300 en France, est implanté à Lavans-lès-Saint-Claude dans le Jura.
Smoby va annoncer un plan social avant Noël
Le fabricant de jouets installé dans le Jura annoncera, le 17 décembre, un plan social au comité central d’entreprise selon Gilles Rizzi, le délégué CGT. Il faut dire que l’entreprise, qui a perdu 26 millions d’euros l’année dernière, a une dette de 277 millions d’euros. Et le 9 octobre, le tribunal de commerce de Lons-le-Saulnier avait placé l’entreprise en redressement judiciaire en estimant que MGA, le géant américain du jouet qui avait repris Smoby en avril dernier, ne réussirait pas à redresser la situation. Smoby a publié ce matin son chiffre d'affaires qui recule de 6,7% à 158,1 millions d’euros et des ventes en baisse de 12,7% avec 2 750 salariés.
Perquisition chez Smoby
La Brigade financière a perquisitionné au siège de Smoby hier matin, à Lavans-lès-Saint-Claude. Toute la journée, les policiers ont interrogé des salariés des services financiers avant de repartir dans la soirée avec des documents comptables. Cette perquisition intervient après l'ouverture d'une enquête en juillet. La justice soupçonne l'ancien Pdg, Jean-Christophe Breuil, d'avoir détourné de l'argent de l'entreprise via des sociétés écrans. Mais Jean-Christophe Breuil se défend en évoquant un complot contre lui. L'enquête a été confiée au juge d'instruction Erwann Tor.
Smoby-Majorette : MGA veut garder le contrôle de l'entreprise
Le groupe américain, qui a racheté le fabricant jurassien de jouet, risque de perdre la direction de Smoby. Alors qu’il a investi 50 millions d’euros dans l’entreprise. Le 9 octobre, le tribunal de commerce de Lons-le-Saunier dans le Jura a placé Smoby en redressement judiciaire. Du coup, d’autres candidats peuvent se manifester pour reprendre l’entreprise alors que MGA, le groupe américain de jouet, avait racheté Smoby en mai. Et depuis il a investi 50 million d’euros pour relancer la production. Pour conserver Smoby, Isaac Larian, le Pdg de MGA, va donc proposer un autre plan de continuation. Il a également fait appel à Didier Pietri, un ancien cadre de Disney. Surtout, MGA doit trouver un accord avec les créanciers de Smoby qui traîne une dette de 270 millions d’euros. Mais ce ne sera pas facile car la Deutsche Bank, qui est le principal créancier, est aussi candidate à la reprise.