Meurtre du petit Valentin : Moitoiret condamné en appel à 30 ans de réclusion criminelle
Le verdict est tombé vendredi soir ; les jurés de la cour d'assises du Rhône ont décidé de suivre les réquisitions du parquet. Stéphane Moitoiret a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir porté 44 coups de couteau au petit Valentin, 10 ans, à Lagnieu dans l'Ain en juillet 2008.
Trente ans de prison requis contre Moitoiret pour le meurtre du petit Valentin
Au procès du meurtre du petit Valentin, trente ans de prison ont été requis jeudi soir contre Stéphane Moitoiret, accusé d'avoir porté 44 coups de couteau à un enfant de 10 ans, à Lagnieu, dans l'Ain, en juillet 2008.
Assassinat de Valentin : Moitoiret et Hego ont fait appel
Les deux amants condamnés le 15 décembre dernier pour l'assassinat du petit Valentin en 2008, ont donc interjeté appel samedi. L'annonce est sans surprise puisque l'avocat de Stéphane Moitoiret avait annoncé son intention de faire appel au lendemain de la condamnation à perpétuité de son client. Par ailleurs, le parquet général a également fait appel vendredi. Il espère que Noëlla Hego, condamnée en première instance à 18 ans de réclusion criminelle pour complicité, écope d'une peine plus lourde lors d'un second procès.
Assassinat du petit Valentin : Moitoiret fait appel
Stéphane Moitoiret a décidé de faire appel de sa condamnation jeudi à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre du petit Valentin.
L'ouverture du procès des meurtriers présumés du Petit Valentin
Stéphane Moitoiret et sa compagne Noëlla Hego comparaissent à partir de lundi devant la Cour d'Assises de l'Ain à Bourg-en-Bresse. Le 28 juillet 2008, le petit Valentin, 11 ans, était retrouvé mort dans une rue de Lagnieu, poignardé d'une quarantaine de coups de couteau. Son agresseur, Stéphane Moitoiret, un marginal schizophrène, a bien failli ne pas être jugé. Sa responsabilité pénale sera au coeur de ce procès. Il risque la réclusion criminelle à perpétuité. Verdict le 16 décembre.
Meutre du petit Valentin : Stéphane Moitoiret pourra être jugé
Il s’agit de l’enquête sur le meurtre du petit Valentin, tué de 40 coups de couteau, en juillet 2008, à Lagnieu dans l’Ain.
Meutre de Lagnieu : des doutes sur la responsabilité du tueur
Stéphane Moitoiret, le meurtrier présumé de Valentin, le garçon de 11 ans qui avait été tué de quarante coups de couteau le 28 juillet à Lagnieu, pourrait échapper à la justice. En effet, le procureur de la République de Bourg-en-Bresse a annoncé mardi 14 octobre que les trois experts psychiatres qui l'ont examiné sont partagés quant à sa responsabilité pénale. "Un des experts estime que le discernement de Stéphane Moitoiret et le contrôle de ses actes étaient abolis au moment des faits, et qu'il avait agi sous l'empire d'une force et d'une contrainte à laquelle il n'avait pu résister" explique le procureur. Alors que les deux autres experts considèrent que Stéphane Moitoiret "était atteint d'un trouble psychique ayant seulement altéré dans une large mesure son discernement". En revanche, les trois experts concluent "unanimement" à la responsabilité pénale de Noëlla Hégo, la compagne de Stéphane Moitoiret. Une contre-expertise sera réalisée.
Serial killer de Lagnieu : "Un véritable jeu de piste"
Corinne Herrman, une juriste spécialiste des serial killers qui vient d’écrire “Un tueur peut en cacher un autre”, analyse le meurtre du petit Valentin à Lagnieu par Stéphane Moitoiret.
Témoignage : "J'ai pris en stop le meurtrier du petit Valentin"
Le meurtrier du petit Valentin est passé par le Beaujolais le 13 juin avant de rejoindre la Saône-et-Loire puis Lagnieu dans l’Ain. Un nouveau témoignage sur son itinéraire.
Exclusif : les étranges inscriptions de Moitoiret
Un curé de l’ouest lyonnais qui avait hébergé ce routard dans une salle de catéchisme, a eu la surprise de découvrir ces inscriptions étonnantes du meurtrier du petit Valentin.
Reconstitution de l'assassinat du petit Valentin en octobre
La mère de Valentin, tué d'une cinquantaine de coups de couteau le 28 juillet à Lagnieu dans l’Ain, a annoncé qu'une reconstitution devrait se dérouler début octobre. Dans une interview publiée lundi dans le Dauphiné Libéré, Véronique Crémault avoue "appréhender" ce moment où elle va devoir affronter le regard du meurtrier présumé de l’enfant, Stéphane Moitoiret. Cette reconstitution n'a pas été confirmée, mais de source judiciaire un collège d'experts devrait "en principe" déposer ses conclusions sur la santé mentale de Moitoiret et de sa compagne courant octobre. Stéphane Moitoiret, 39 ans, a été mis en examen et écroué le 5 août pour "homicide avec préméditation sur mineur de 15 ans avec actes de barbarie" et sa compagne, âgée de 48 ans, pour "non-empêchement de la commission d'un crime, soustraction de preuves et non-dénonciation de crime".
La famille du petit Valentin à l'Elysée
Le président de la République a reçu ce jeudi la famille de Valentin, 11 ans, assassiné de 44 coups de couteau à Lagnieu dans l’Ain fin juillet. Nicolas Sarkozy, qui n'avait pas pu se rendre sur les lieux du drame, tenait à leur exprimer sa compassion. Mais il s'est aussi félicité du travail réalisé par les gendarmes et les enquêteurs, qui étaient également invités à l’Elysée. Des investigations qui avaient permis d'interpeller l'auteur présumé du crime, Stéphane Moitoiret, grâce à une trace d'ADN prélevé sur les vêtements de Valentin.
L'affaire de Lagnieu reste entre les mains de la gendarmerie
Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire “Le Canard Enchaîné” affirmait que la police judiciaire de Lyon tentait de récupérer l’enquête sur le meurtre du petit Valentin commis à Lagnieu, dans l’Ain, pour profiter de ses retombées médiatiques. Une information qui a été démentie par la police judiciaire qui affirme qu’il n’a jamais été question de dessaisir la gendarmerie de l’affaire.
Stéphane Moitoiret mis en examen
Le suspect numéro 1 dans le meurtre du petit Valentin, 11 ans, à Lagnieu dans l’Ain, a été mis en examen pour meurtre “avec actes de barbarie.” Il risque la prison à perpétuité. Noëlla Hégo, la compagne de Moitoiret risque, elle, cinq ans de prison pour “non-empêchement de la commission d’un crime, soustraction de preuves et non-dénonciation de crime.” Moitoret continue à nier l’assassinat de Valentin. Mais sa compagne a avoué qu’il était bien le meurtrier en expliquant que le 28 juillet, il était rentré “couvert de sang, en disant qu’il venait de tuer un petit garçon.” Stéphane Moitoiret, 39 ans, a été transféré mardi soir au service médico-psychologique régional de la prison de Saint-Paul à Lyon et Noëlla Hégo, 48 ans, a été transférée à la prison pour femmes de Montluc. Un collège d’experts doit se prononcer d’ici un mois et demi sur la santé mentale du couple.
Valentin : les obsèques ont eu lieu
Elles ont été célébrées dans l’église de Hières-sur-Amby en Isère mardi à 14h. Des centaines de personnes étaient présentes pour assister à cette cérémonie. L'enfant devait ensuite être enterré dans le caveau familial. Nicolas Sarkozy a téléphoné à la mère de Valentin pour "exprimer sa compassion." Le petit Valentin, 11 ans, a été assassiné le 28 juillet d’une quarantaine de coups de couteau à Lagnieu dans l’Ain. Le principal suspect, Stéphane Moitoiret, un marginal de 39 ans, a été transféré cet après-midi au palais de justice de Bourg-en-Bresse, avec sa compagne, Noëlla Hégo, 48 ans. Moitoiret devrait être mis en examen pour “homicide sur mineur de moins de 15 ans et actes de barbarie" et placé en détention préventive. Le rôle de sa compagne demeure incertain dans ce crime mais pourrait être plus important que prévu.
Meurtre de Valentin : le suspect confondu par son ADN
Les tests ADN ont prouvé que Stéphane Moitoiret, le marginal arrêté dimanche en Ardèche avec sa compagne, était bien sur les lieux du meurtre du jeune Valentin à Lagnieu dans l’Ain le soir du 28 juillet. Mais pour l’instant, Stéphane Moitoiret, 39 ans, et sa compagne, Noëlla Hego, 48 ans, refusent de reconnaître les faits. C’est pourtant bien l’ADN de Moitoiret qu’on a retrouvé sur le corps et les vêtements de Valentin, 11 ans, tué d’une quarantaine de coups de couteau. Jean-Paul Gandolière, procureur de Bourg-en-Bresse, a expliqué que les deux suspects tenaient “des propos très incohérents sur une mission divine qu’ils seraient venus effectuer depuis l’Australie.” Rachida Dati, ministre de la Justice, et Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, se sont rendues lundi à Porcieu-Amblagnieu en Isère où elles ont notamment rencontré la famille de Valentin.