Les champignons toujours radioactifs en Auvergne-Rhône-Alpes
Certains champignons cueillis en Auvergne-Rhône-Alpes, 30 ans après la catastrophe de Tchernobyl, sont toujours radioactifs.
Hôpital Lyon-Sud : où est passée la source de radioactivité disparue ?
Entre le 13 et le 18 février dernier, une source radioactive de 2,5 méga becquerels (faible activité) a disparu des locaux du centre hospitalier Lyon-Sud.
Incident radioactif à Lyon : les agents contaminés vont bien
Les premiers examens menés sur les deux hommes de l’Autorité de Sureté Nucléaire ont montré qu’ils n’avaient pas été exposés à un risque important.
Accident radioactif à Lyon : le quai Claude Bernard reste sous haute surveillance
Mercredi, deux agents de l'Agence de Sûreté Nucléaire ont été exposés à un gaz naturel radioactif au cours d'une intervention dans la cave d'un ancien radiologue. Une mallette contenant du radon s'est ouverte, et des poussières radioactives ont été retrouvées dans une partie du bâtiment. Selon nos informations, l'immeuble est condamné jusqu'à au moins mardi, le temps de trouver une solution pour évacuer la mallette radioactive, toujours sur place. Un agent de sécurité est posté nuit et jour devant le bâtiment pour empêcher toute personne non-autorisée d'y pénétrer. Les habitants, eux, sont relogés par la Ville dans un hôtel situé à proximité.
Accident radioactif mercredi Quai Claude Bernard à Lyon
Deux agents de l'Autorité de Sûreté Nucléaire ont été exposés au radon, un gaz naturel radioactif, lors d'une intervention chez un ancien radiologue dans le 7e arrondissement de Lyon.
Incident radioactif mineur aux HCL de Lyon
Le Progrès raconte qu'une interne, qui devait injecter un produit radioactif à une patiente, a reçu une projection dans l’œil. La seringue a en effet cassé.Il s'est produit le 26 septembre dernier, mais on ne l'apprend que jeudi. Cet incident mineur est sans conséquence mais il a révélé des dysfonctionnements : le médecin ne portait pas de lunettes de protection et n'a prévenu que quatre heures plus tard. Et cette intervention aurait dû être effectuée par un médecin du service de médecine nucléaire.
La Police judiciaire de Lyon prête à faire face à des attaques toxiques
La PJ est en train de se doter d’une unité très spécialisée, baptisée Constox, c’est-à-dire Constatations en milieu toxique. Au total, 60 personnes seront capables d’intervenir là où les risques radiologiques, bactériologiques ou chimiques sont importants. La formation de ces policiers se passe à Ecully, au siège de la police scientifique.
Un train contenant des déchets radioactifs va s'arrêter plusieurs heures dans l'Ain
Le convoi est parti d'Italie dans la nuit de dimanche à lundi pour rejoindre la Manche.
Incident radioactif en Isère
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a revu à la hausse mardi la gravité de l'incident concernant des boutons d'ascenseur qui se sont révélés radioactifs à Chimilin en Isère, car plus de dix travailleurs de l'entreprise ont été exposés à des radiations excessives. "Parmi la trentaine de personnes exposées, une vingtaine de travailleurs ont été exposés à des doses allant de 1 mSv (milli-Sievert) à 3 mSv environ", explique l'ASN, alors que la limite d'exposition fixée par la réglementation est de 1 mSv/an. L'ASN a donc décidé de reclasser l'incident au niveau 2, alors qu'elle avait annoncé un classement provisoire au niveau 1 après son inspection du 8 octobre.