Social
Décembre 2008
Le traitement de la schizophrénie est pratiquement un monopole du secteur public. Pour schématiser, le public s’occupe des psychoses, c’est-à-dire les pathologies où les patients perdent le sens de la réalité : schizophrénie, paranoïa, troubles bipolaires... Question de gravité, de moyens et d’organisation. Alors que le secteur privé, notamment les psychiatres de ville, se consacre aux névroses comme la dépression, les troubles alimentaires, l’anxiété...