Le verdict est tombé au procès du meurtre du gendrame Ambrosse
Florent Morat, le meurtrier, est condamné à 25 ans réclusion criminelle par la cour d'assises du Rhône.
30 ans de réclusion criminelle requis contre le meurtrier présumé du gendarme Ambrosse
C’est ce qu’a demandé jeudi matin le procureur à l’encontre de Florent Morat qui est jugé depuis lundi devant la cour d’assises du Rhône.
Le meurtrier présumé du commandant Ambrosse est passé aux aveux lundi
Il s’agissait du premier jour du procès devant les assises du Rhône. Florent Morat, 25 ans, a expliqué avoir "tiré de face et d’instinct" sur les gendarmes, qui intervenaient sur le cambriolage d’un stand de tir à Saint-Andéol-le-château en juin 2007.
La cour d’assises du Rhône juge à partir de lundi 4 militants d’extrême-droite pour le meurtre de Norbert Ambrosse
Ils sont accusés d’avoir tué un gendarme. Cela s’était passé le 23 juin 2007 alors que les gendarmes intervenaient en flagrant délit sur le cambriolage d’un stand de tir à Saint-Andéol-le-Château.
Le réquisitoire connu dans l’affaire du gang des lessiveurs
Les deux représentants du parquet ont prononcé mercredi leur réquisitoire devant la cour d’assises du Rhône.
Les méfaits des « lessiveurs » étalés devant la Cour
Après deux journées consacrées à la personnalité du « Gang des lessiveurs », les jurés sont entrés dans le vif du sujet hier.
Le "gang des lessiveurs" devant les assisses de Lyon
Sept personnes vont être jugées pendant 15 jours à partir de jeudi. Elles sont soupçonnées d’appartenir au "Gang des lessiveurs", responsable de plusieurs attaques de banques et fourgons blindés entre 2003 et 2006 dans la région lyonnaise, en Isère, en Ardèche et dans le Poitou.
Douze ans de prison pour le jeune guinéen accusé de viols
Verdict prononcé mercredi soir par la cour d’assises du Rhône. Souleymane Sall, 25 ans, était jugé depuis le début de la semaine pour une série de viols et tentatives de viols, à Lyon, Vénissieux et Paris en 2005. Au moins 4 victimes avaient été recensées.
15 ans de prison ont été requis à l’encontre d’un violeur en série devant la cour d'Assises du Rhône
Ce Guinéen de 25 ans est jugé depuis lundi pour viol et tentatives de viol, à Lyon, Vénissieux et Paris en 2005. Au moins 4 victimes ont été recensées. Le verdict est attendu mercredi en fin d’après-midi.
Un violeur en série devant la cour d'Assises du Rhône
Un violeur en série jugé depuis lundi matin devant la cour d’Assises du Rhône. Ce Guinéen de 25 ans est poursuivi pour viol et tentatives de viol, à Lyon, Vénissieux et Paris en 2005. Au moins 4 victimes ont été recensées. Le verdict est attendu mercredi.
Une assistante maternelle condamnée à 15 ans de prison
La cour d'Assises du Rhône a condamné mercredi après-midi une assistante maternelle à 15 ans de réclusion criminelle.
Dernier jour du procès de l’assistante maternelle devant les Assises du Rhône
Elle est jugée depuis le début de la semaine après la mort d’un nourrisson de 3 mois dont elle avait la garde. Elle est soupçonnée de l'avoir jeté au sol un jour de janvier 2008. Mardi, c’est le dossier professionnel de cette assistante maternelle qui a été étudié devant la Cour. Un an avant le drame, elle avait frôlé le retrait de son agrément car des parents s’étaient plaints de son comportement envers les enfants. A la suite d’un suivi psychologique, elle avait pu conserver l’agrément et n’avait été que sanctionnée d’un avertissement de la part de la Protection Maternelle infantile. Les experts ont conclu que le discernement d’Isabelle Morizot n’était pas altéré au moment de violenter le petit Yannis. Le verdict est attendu mercredi dans la soirée.
Les assises du développement durable à Lyon le 19 janvier
Les 5e Assises nationales du développement durable se tiendront à Lyon du 19 au 21 janvier au Transbordeur, à l’Opéra, au Palais du commerce, à la Bourse du travail et à la Plateforme. Objectif de ces Assises : montrer que chacun est concerné par le développement durable et rappeler le rôle précurseur de la région Rhône-Alpes dans certains domaines, notamment les transports ou l’énergie.
Loire: sept ans de prison pour l'incendiaire d'un autobus
L'auteur principal de l'incendie d'un autobus à La Ricamarie dans la Loire en novembre 2005 pendant les émeutes urbaines, dans lequel le conducteur et une passagère avaient été sérieusement brûlés, a été condamné mercredi à sept ans de prison par la cour d'assises des mineurs de la Loire. Les jurés ont retenu l'excuse de minorité, qui a pour effet de diviser par deux la peine maximale encourue, qui était de 20 ans de prison.
Un toxicomane condamné à sept ans de prison
La cour d’assises a condamné mercredi 21 mai Hafid Hebbache a sept ans de prison pour vol à main armé. Cet homme de 33 ans avait braqué en avril 2006 un cabinet d’expertise immobilière rue de Créqui dans le 3e arrondissement de Lyon où il avait volé du matériel informatique qu’il voulait revendre pour pouvoir financer sa consommation de drogue.
Le braqueur de Givors condamné à cinq ans de prison
Abdelrazak Chebbah, qui avait braqué une banque à Givors en 1998, a été condamné mercredi par la cour d’Assises de Lyon à cinq ans de prison dont quatre ans et demi avec sursis pour vol à main armé en bande organisée et violences avec armes. Le 30 juillet 1998 vers 9 heures, les services de police arrivent dans les bureaux de la Société Générale de Givors où un braquage vient d’être commis. L’auteur des faits : Abdelrazak Chebbah, un jeune algérien de 19 ans. Cagoulé, il a pénétré dans la banque après avoir brisé une vitre. Il a alors menacé les employés de l’agence pour obtenir de l’argent et a même frappé un des salariés qui n’allait pas assez vite avec une masse. Ce dernier, qui a été blessé à l’omoplate, devra être placé en arrêt de travail pendant dix jours. Après avoir récupéré à peine 15 000 francs, Abdelrazak Chebbah s’enfuit en passant par la fenêtre. Cet homme, issu d’une famille de neuf enfants, rejoint alors son complice qui l’attend dans une BMW volée, immatriculée dans l’Isère. Retrouvé six ans après les faits, Abdelrazak Chebbah n’a jamais donné l’identité de son complice, par crainte des représailles.
Le duo des postiches condamné en Assises
Pendant un an, entre février 2004 et février 2005, ils ont terrorisé les bijoutiers lyonnais. Perruque sur la tête, pistolet au poing, Mourad Boulabnene et Ahmed Mezaache ont réalisé quatre hold-up dans des bijouteries à Lyon, Villeurbanne et Meyzieu, braquant et ligotant les commerçants pour ensuite vider les coffres tranquillement. Ils ont finalement été arrêtés alors qu’ils s’apprêtaient à récidiver dans une bijouterie de la Presqu’île. Les policiers de la BRB, la brigade de répression du banditisme les avaient surnommé “le duo des postiches”, en référence au gang des postiches, ce groupe de malfaiteurs parisiens qui avait braqué plusieurs banques dans les années 80. Mercredi 7 mai, les deux hommes ont été condamnés à 13 et 15 ans de prison ferme par la cour d’assises du Rhône. Pourtant, pendant le procès, les deux prévenus ont clamé leur innocence. Et leurs avocats, Me Perret-Bessière et Me Debray, ont mis en valeur les incohérences du dossier, notamment le fait que Mourad Boulabnene et Ahmed Mezaache ont continué à mener une vie modeste pendant la vague de braquages. Chez eux, les policiers n’ont retrouvé ni bijoux, ni objets de valeur. Ce qui n’aura pas suffi à convaincre les jurés.
Une étrange affaire devant les assises
Jugé pour viol lundi 19 novembre par la cour d’assises du Rhône, Roger Chemoul dénonce un complot ayant pour origine une enquête de Lyon Mag. La cour d’assises du Rhône va juger une affaire pas comme les autres le 19 novembre. Roger Chemoul, 61 ans, est soupçonné d’avoir violé Christiane Basset en 2001. Mais la défense de cet ancien infirmier de la maison de retraite de Montvenoux à Tarare est étonnante. “Je suis victime d’un complot visant à me discréditer”, s’insurge Roger Chemoul, un pied-noir qui a un incontestable bagou, avant d’ajouter : “En fait, c’est le Dr Champin, le directeur de la maison de retraite de Montvenoux, qui a voulu se venger de moi, car j’avais donné des informations à Lyon Mag pour leur dossier sur le scandale dans les maisons de retraite. Et suite à ces révélations, il a été mis en accusation publiquement par d’autres médias.” (1) Et c’est vrai que cette affaire de viol a éclaté en janvier 2003, juste après la parution de Lyon Mag. Le Dr Champin avait alors organisé une réunion dans son établissement, pour demander à ses salariés s’ils avaient à se plaindre de Roger Chemoul. C’est à ce moment-là que Christiane Basset avait révélé avoir été violée. Après avoir refusé pendant longtemps les avances sexuelles de Roger Chemoul, elle avait fini par craquer parce que c’était son supérieur hiérarchique et qu’il menaçait de lui faire perdre son emploi. Chemoul aurait alors abusé d’elle à deux reprises : une première fois sur une table de motricité puis une seconde