Un homme accusé de viols jugé devant les assises du Rhône
Ce barman de 26 ans, au CV a priori sans fausse note, est jugé depuis mardi pour deux agressions survenues en quinze jours à l’été 2007. Il aurait agressé en pleine rue et dans la nuit deux jeunes femmes qui rentraient chez elle, l’une dans le Vieux-Lyon, l’autre cours Vitton dans le 6e arrondissement. Il explique ces agressions par l’usage de drogue et une trop forte consommation d’alcool. Le procès se poursuit mercredi.
De 11 à 16 ans de réclusion prononcés contre les violeurs d’une étudiante
Le verdict est tombé, mercredi, devant les Assises du Rhône pour des faits remontant à mai 2007. Une étudiante avait été violée par trois individus dans une résidence universitaire du 8e arrondissement.
Relaxé par le tribunal correctionnel mais finalement condamné aux Assises
C’est ce qui est arrivé jeudi à Kaisse El Tayef, accusé de viol sur une jeune SDF en octobre 2001. L’homme a été condamné à neuf ans de prison alors que la défense plaidait l’acquittement devant les divergences de récit et le passé chaotique de la victime depuis le début de l’affaire. Deux autres personnes impliquées dans ce viol n’ont toujours pas été retrouvées. L’homme condamné devrait faire appel.
Deux jeunes villeurbannais condamnés à 9 et 7 ans de prison pour viol
Aujourd’hui âgés de 26 et 24 ans, l’un d’eux était mineur au moment des faits. Ils étaient jugés depuis le début de la semaine devant la cour d’Assises des mineurs du Rhône pour des viols répétés pendant plusieurs années sur une adolescente d’Oullins et également pour le viol d’une jeune fille de 15 ans au parc de Miribel en 2007.
Perpétuité confirmée en appel pour un pompier
Cet homme de 57 ans était jugé depuis le début de la semaine devant la Cour d’Appel de Lyon. Il était poursuivi pour le viol et le meurtre d’une adolescente de 16 ans dans le Gard. Les faits remontent en 1987, mais le meurtrier n'avait été confondu par son ADN qu’en 2006. En 1er instance, il avait déjà été condamné à la prison à perpétuité.
Huit ans de prison pour un violeur
La cour d’assises du Rhône a condamné mardi soir à huit ans de prison un septuagénaire pour viol et agression sexuelles sur sa nièce et sa petite fille. Les faits remontent à la période 1986-1998, où il avait commis des attouchements sur les fillettes chez lui à Villefranche-sur-Saône et pendant leurs vacances dans le sud-ouest. Une troisième femme de 38 ans, victime d’attouchements, s’était portée partie civile mais les faits, qui remontent à plus de 20 ans, sont prescrits et n’ont donc pas pu être jugés.
Le violeur du 3e aux assises
Accusé d’avoir violé plusieurs jeunes filles dans le 3e arrondissement, Luc Fabra est jugé ce mercredi 11 juin.
Judiciaire : "Un instinct de bête"
Un Lyonnais de 43 ans vient de mourir discrètement à la prison Saint-Paul. Il avait violé ses quatre filles pendant près de 8 ans.
Viols : un Grenoblois recrutait ses victimes sur Internet
Un étudiant grenoblois en master de sciences a été interpellé et mis en examen lundi. Jusqu'alors inconnu des services judiciaires, l'homme, âgé de 25 ans, a été mis en examen pour "viols aggravés, extorsion de fonds et vols" et placé en détention. En fait, il repérait ses victimes sur les sites de discussion et après les avoir mises en confiance, se faisait envoyer photos et vidéos compromettantes qu'il menaçait ensuite de diffuser sur le net ou d'expédier à leurs parents. Par ce chantage, il contraignait les jeunes filles à le rencontrer, à lui apporter de l'argent ou des objets de valeur, puis à assouvir ses désirs. Mais il y a une quinzaine de jours, une jeune fille de 17 ans a déposé plainte. Les enquêteurs ont alors établi un lien avec une affaire similaire dont a été victime une jeune fille du même âge, qui a déposé plainte à la police d'Annecy. Les enquêteurs, qui analysent actuellement le disque dur de l'ordinateur de l'étudiant, pensent qu'il y aurait d'autres victimes.
Un patient de l'hôpital Saint-Jean jugé pour viols
Un patient de l’hôpital psychiatrique Saint-Jean-de-Dieu a été jugé mercredi 15 avril par le tribunal correctionnel de Lyon pour agression sexuelle sur deux pensionnaires de l’établissement en avril et juillet 2007. Les victimes étaient âgées de 18 et 50 ans. Surnommé “Jolicoeur”, ce Haïtien était interné pour des troubles violents du comportement et suivait un lourd traitement qu’il complétait avec du cannabis. Jugé mercredi devant le tribunal correctionnel de Lyon, le patient encourt une peine de 30 mois de prison, dont 14 ferme. Il a aussi exprimé des regrets en déclarant à l’une de ses victimes :”Je m’excuse du fond coeur, si j’en ai un”.
Un garçon de 12 ans soupçonné de viol
Un garçon de 12 ans est soupçonné d'avoir violé un autre enfant de 9 ans, dans une douche d'une piscine de La Mulatière. Compte-tenu de son âge, l'agresseur présumé a été entendu dans le cadre d'une simple rétention, avant d'être remis à ses parents. Il aurait reconnu les faits, en se disant pris par "des pulsions".
Une étrange affaire devant les assises
Jugé pour viol lundi 19 novembre par la cour d’assises du Rhône, Roger Chemoul dénonce un complot ayant pour origine une enquête de Lyon Mag. La cour d’assises du Rhône va juger une affaire pas comme les autres le 19 novembre. Roger Chemoul, 61 ans, est soupçonné d’avoir violé Christiane Basset en 2001. Mais la défense de cet ancien infirmier de la maison de retraite de Montvenoux à Tarare est étonnante. “Je suis victime d’un complot visant à me discréditer”, s’insurge Roger Chemoul, un pied-noir qui a un incontestable bagou, avant d’ajouter : “En fait, c’est le Dr Champin, le directeur de la maison de retraite de Montvenoux, qui a voulu se venger de moi, car j’avais donné des informations à Lyon Mag pour leur dossier sur le scandale dans les maisons de retraite. Et suite à ces révélations, il a été mis en accusation publiquement par d’autres médias.” (1) Et c’est vrai que cette affaire de viol a éclaté en janvier 2003, juste après la parution de Lyon Mag. Le Dr Champin avait alors organisé une réunion dans son établissement, pour demander à ses salariés s’ils avaient à se plaindre de Roger Chemoul. C’est à ce moment-là que Christiane Basset avait révélé avoir été violée. Après avoir refusé pendant longtemps les avances sexuelles de Roger Chemoul, elle avait fini par craquer parce que c’était son supérieur hiérarchique et qu’il menaçait de lui faire perdre son emploi. Chemoul aurait alors abusé d’elle à deux reprises : une première fois sur une table de motricité puis une seconde