L'extension de l’activité de l’usine Daikin à Pierre-Bénite suspendue
Victoire pour Jérôme Moroge face à la préfète du Rhône.
Lyon : Arkema va investir 70 millions d'euros
Le pôle de chimie situé à Pierre-Bénite va être aidé financièrement pour devenir plus compétitif et de taille mondiale.
Raffinerie de Feyzin : «La direction de Total se moque ouvertement de nous»
Lundi matin s’est tenu le comité central d’entreprise de Total concernant la situation des sites de raffinage en France. Le mouvement de grève d’une semaine et le spectre de la pénurie avaient d’ailleurs forcé le gouvernement à intervenir dans le dossier fin février. Et le comité très attendu n’a pas vraiment satisfait. Pour Ludwig Pistilli, délégué CGT à la Raffinerie TOTAL de Feyzin, le propos entendu reste le même et les solutions proposées sont insuffisantes. A telle enseigne que les syndicats sont déterminés, si les salariés suivent, à aller au bout de leur mouvement. Et en bout de chaîne, on craint évidemment la pénurie. Interview.
Fin du mouvement de grève à la raffinerie de Feyzin
La majorité des 200 salariés ont voté mercredi, en début d’après-midi, la fin du mouvement de grève sur le site de Feyzin. Mais tout se jouera lors du comité central d’entreprise prévu le 8 mars.
On se dirige vers la fin de la grève dans les raffineries Total
A l’issue d’une journée de négociation avec leur direction, la CGT a appelé à la suspension de la grève.
Grève reconduite à la raffinerie Total de Feyzin
Les salariés ont voté pour la poursuite du mouvement lors d’une assemblée générale qui s’est tenue mardi en début d’après-midi. Au même moment, la direction du groupe a annoncé qu’elle s’engageait à ne pas fermer d’usine en France pendant 5 ans, hormis celle de Dunkerque. Les négociations se poursuivent entre direction et syndicats au siège de Total à Paris. Mercredi, la dernière machine du site va s’arrêter, au 8e jour de grève, et plus aucune goutte de carburant ne sera alors produite.
Grève à Feyzin : une pénurie probable et des revendications
C'est vendredi à 14h, par une assemblée générale, que les grèvistes de la raffinerie de Total choisiront la suite à donner à leur mouvement. Et l'impact de cette grève pourrait bien être immédiat, avec le week-end de chassé-croisé des vacances de Février sur les routes, l'essence pourrait bientôt devenir une denrée rare sur la région. Un épiphénomène plutôt contraignant, qui ne doit pas masquer le dessein premier du mouvement : savoir où le pôle "raffinerie" de Total va, après la fermeture annoncée du site "Flandres" de Dunkerque. Michel Lavastrou, secrétaire général CGT de la raffinerie de Feyzin, demande plus de transparence, et des réponses claires aux questions que les salariés sont en droit de se poser. Interview.
Grève confirmée à Feyzin : vers l'assèchement des stations-service ?
Réunis en assemblée générale, mercredi, les employés de la raffinerie Total ont voté la grève illimitée. Aucune expédition de carburant n’a eu lieu et une pénurie peut être envisagée si le mouvement perdure même si la direction rejette pour le moment cette idée. Tous les sites français de Total sont en grève pour protester contre la fermeture de la raffinerie de Dunkerque. Lyon Mag a interrogé Michel Lavastrou, secrétaire général de la CGT de la raffinerie, qui n'exclut pas l'hypothèse de la pénurie.
Exercice de sécurité de grande ampleur, jeudi, chez Sanofi-Aventis à Neuville-sur-Saône
Des équipes du Sdis et l’ensemble du personnel de sécurité de ce site de chimie classé "Seveso II - seuil haut" seront mobilisés. L’objectif de cet exercice interne annuel est de vérifier la bonne coordination des équipes et de s’assurer du bon fonctionnement des équipements de sécurité.
La Cour de cassation confirme le jugement du tribunal correctionnel de Lyon
La Cour a rendu définitive, jeudi, la condamnation de l’entreprise Monsanto à 15 000 euros d’amende pour "publicité mensongère". Le tribunal correctionnel de Lyon avait été saisi en 2001 à la suite d’un rapport de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes et d’une plainte de plusieurs associations concernant le premier désherbant vendu dans le monde. Le Round Up était présenté comme "biodégradable" par son fabricant, Monsanto, alors que sa principale matière active a été classée dès 1991 comme "dangereux pour l’environnement".