Drame de Bourgoin-Jallieu : le père mis en examen
Le père qui a tué ses deux enfants à Bourgoin-Jallieu a été mis en examen jeudi pour "homicides volontaires". Il a été interpellé mardi et a immédiatement avoué avoir étouffé ses deux enfants pendant leur sommeil, dans la nuit de lundi à mardi. Les corps des deux petites victimes ont été retrouvés dans des sacs poubelles placés dans le coffre d’une voiture. L’homme est également soupçonné de « tentative d’assassinat » sur sa femme. Devant les enquêteurs, il n’a pas pu expliquer son geste. Il souffrait d’une addiction aux jeux et connaissait des problèmes de couple.
Des problèmes de couple et d'argent à l’origine du drame de Bourgoin-Jallieu
Mustapha, le père des deux garçons retrouvés morts dans la ville du nord-Isère, a avoué mercredi avoir tué ses enfants.
Les deux enfants retrouvés morts à Bourgoin-Jallieu ont bien été étouffés
Les autopsies des corps des deux enfants retrouvés morts mardi dans le coffre d’une voiture ont conclu à la mort par asphyxie.
Un père avoue avoir tué ses enfants en Isère
Un père de famille a été interpellé mardi dans le quartier de Champ-Fleuri à Bourgoin-Jallieu. Les corps de ses deux garçons ont été retrouvés dans le coffre de sa voiture.
Macabre découverte à Bourgoin-Jallieu
Deux cadavres d'enfants de 7 et 10 ans ont été découverts dans des sacs plastiques à l'intérieur du coffre d'une voiture mardi à Bourgoin-Jallieu. Le père reconnait avoir tué ses enfants.
On en sait un peu plus sur le meurtrier présumé de la jeune femme retrouvée décapitée à Roanne
Il s’agit du compagnon de la victime. Agé de 20 ans, il présentait "des troubles du comportement" depuis deux ans. Il a été interpellé lundi après la découverte dans la chambre de leur appartement du corps de sa compagne de 20 ans, décapité et lardé de coups de couteau. Le jeune homme a été placé en garde à vue et hospitalisé dans une chambre sécurisée. Il pourrait être transféré à l’hôpital du Vinatier à Lyon. Son état psychique n'a pas permis de l'entendre.
Une femme retrouvée décapitée son domicile de Roanne dans la Loire
Le corps d'une jeune femme d'une vingtaine d'années a été retrouvé décapité et lardé de plusieurs coups de couteau. Son concubin est suspecté de ce meurtre. Il a été interpellé et hospitalisé en psychiatrie. La police scientifique de Lyon a été appelée en renfort sur les lieux du crime. C’est un voisin qui a donné l’alerte après avoir entendu ce couple se disputer violemment.
Macabre découverte dans le 9e arrondissement de Lyon
Le cadavre d’un homme a été découvert vendredi matin dans un bosquet de la place Van Der Pool, dans le 9e arrondissement. C’est le jardinier qui a donné l’alerte. La victime avait la boite crânienne enfoncée. Selon les premiers éléments, elle se serait suicidée car un fusil à pompe a été retrouvé à proximité. La victime, un homme âgé de 33 ans, était portée disparue depuis fin septembre.
La reconstitution d’un meurtre demain en Isère
Un détenu avait été tué par un sniper posté à l'extérieur de la maison d'arrêt de Varces en septembre 2008, alors qu’une guerre des gangs sévissait à Grenoble. Le tireur avait été interpellé immédiatement après les faits et l’enquête avait été confiée à la juridiction interrégionale spécialisée de Lyon. Une reconstitution de ce meurtre aura lieu demain, sous haute surveillance. Environ 200 gendarmes seront mobilisés et un périmètre de sécurité sera mis en place autour de la maison d'arrêt.
12 ans de prison pour une bagarre qui avait tourné au meurtre
C’est la condamnation prononcée mardi par la cour d’assises des mineurs du Rhône à l’encontre du principal accusé, un jeune aujourd’hui âgé de 24 ans. Deux amis jugés pour complicité ont été acquittés. Les faits remontent à février 2007 dans le quartier du Mas-du-Taureau à Vaulx-en-Velin. Une bagarre avait éclaté entre deux bandes et un des protagonistes avait reçu un coup de ciseau à la tête. Il décédait une semaine plus tard alors que l’auteur présumé se constituait prisonnier. Il a nié l’intention d’homicide lors de son procès et a parlé d’accident. Ce meurtre avait été suivi par un autre un an et demi plus tard : le beau-frère de la victime avait abattu le frère du jeune homme condamné hier. L'affaire est toujours en instruction.
La reconstitution du meurtre de la femme retrouvée découpée à St Etienne
Il s’agissait d'obtenir des détails sur la nuit du 14 août dernier qui a coûté la vie à une Stéphanoise. Le meurtrier présumé aurait tué puis découpé son amie parce qu’elle lui avait avoué lui avoir transmis le virus du sida. L’autopsie avait montré que la victime était décédée par strangulation.
Perpétuité confirmée en appel pour un pompier
Cet homme de 57 ans était jugé depuis le début de la semaine devant la Cour d’Appel de Lyon. Il était poursuivi pour le viol et le meurtre d’une adolescente de 16 ans dans le Gard. Les faits remontent en 1987, mais le meurtrier n'avait été confondu par son ADN qu’en 2006. En 1er instance, il avait déjà été condamné à la prison à perpétuité.
Grenoble : le schizophrène mis en examen
Le parquet de Grenoble a mis en examen, jeudi, pour "homicide volontaire" l’homme atteint de schizophrénie, Jean-Pierre Guillaud, qui a poignardé un étudiant le 12 novembre dernier, entraînant sa mort. Une expertise avait en effet conclu que son “état mental était compatible avec son audition et avec son éventuelle mise en examen". L'homme de 56 ans qui a avoué les faits a ensuite été placé en détention provisoire à l'hôpital psychiatrique de Saint-Egrève où toute sortie lui est désormais interdite. C'est en effet alors qu'il était hospitalisé dans cet établissement qu'il a échappé à la vigilance du personnel soignant pour aller tuer Luc Meunier. Il avait été interné en 2006 suite à une agression similaire, mais aussi en 1995. Deux délits pour lesquels il avait été déclaré pénalement irresponsable. Nicolas Sarkoy a immédiatement demandé des sanctions. Et notamment une enquête de l'inspection générale des affaires sociales. Ce qui a abouti à la suspension du directeur. Une mesure qui a déclenché une polémique puisque que les syndicats de psychiatres considèrent que ce fonctionnaire fait office de bouc-émissaire pour éviter d'évoquer le vrai problème : le manque de moyens des hôpitaux pour prendre en charge ce type de patients.
Garde à vue prolongée pour l'étudiant qui a tué sa belle-mère
La garde à vue du jeune homme qui a tué lundi 18 août avec un pistolet sa belle-mère enceinte, se poursuit. Lors d’un interrogatoire, cet étudiant de 26 ans a déclaré avoir accidentellement tiré sur elle après une altercation avec son père. Ce dernier affirme de son côté que son fils a volontairement tiré sur son épouse. La victime, enceinte de quelques mois, est décédée lundi à Annecy-le-Vieux, en Haute-Savoie après avoir reçu une balle dans la nuque. Le jeune homme devrait être présenté au parquet d’Annecy ce mercredi et une information judiciaire devrait être ouverte.
Corps mutilé à la Croix-Rousse : un maçon écroué
Un maçon de 37 ans, soupçonné du meurtre d'une retraitée de 56 ans samedi soir à Lyon, a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi. Il nie connaître la victime et être l'auteur du meurtre, mais c'est lui qui avait alerté les policiers, en affirmant qu'il venait de découvrir un corps mutilé dans l'appartement qu'il louait à la Croix -Rousse. Selon les résultats de l'autopsie pratiquée lundi à l'Institut médico-légal de Lyon, la victime, mère de deux enfants, est morte par strangulation. Son meurtrier aurait vraisemblablement tenté de se débarrasser du corps, d'où les mutilations. Les enquêteurs devront maintenant déterminer pourquoi et comment la retraitée s'est retrouvée dans l'appartement et éventuellement si elle a été victime d'un guet-apens. Elle devait en effet, selon ses parents, dîner chez des amis avant de repasser chez eux. Ne la voyant pas arriver, ceux-ci avaient alors alerté la police. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté.
Un corps mutilé retrouvé à la Croix-Rousse
Le corps mutilé d’une femme d’une cinquantaine d’années a été découvert samedi soir, dans un appartement situé au pied des pentes de la Croix Rousse. Le locataire du logement, qui a prévenu la police, a été placé en garde à vue. L’autopsie, qui aura lieu ce lundi à l’Institut médico-légal de Lyon, devrait permettre de connaitre les causes du décès.
Un Lyonnais de 42 ans assassiné en Corse
Guillaume Sage, un ancien assureur lyonnais installé depuis quelques années à Sisco en Corse, a été tué lundi après midi par son voisin, Henri Giusti, un employé municipal de 59 ans qui lui a tiré dessus avec un fusil de chasse. Difficile de connaître les raisons de ce drame. Henri Giusti aurait tout simplement eu un coup de folie après une dispute concernant un mur mitoyen. Mais pas avec Guillaume Sage, mais avec un habitant d’un hameau situé à 5 km, Raymond Damiani. Agacé, l’employé municipal aurait tiré sur Raymond Damiani avant de retourner à Chioso où il habitait et de tirer sans aucune raison apparente sur Guillaume Sage, la victime et son meurtrier n’ayant pas de différend connu. Très gravement blessé, Guillaume Sage a été pris en charge sur place, avant d'être transporté en hélicoptère au centre hospitalier de Bastia. Mais il n'a pas survécu à ses blessures. Cet ancien élève du lycée du Parc, propriétaire des Bergeries de Campone, des gites de luxe, était père de trois enfants.
Le corps d'un grenoblois retrouvé 4 ans après sa mort
Une brésilienne de 39 ans vient d’être mise en examen à Grenoble pour avoir assassiné son compagnon au cours de vacances au Brésil en 2004. Le corps de Sébastien Brun, un fleuriste grenoblois de 35 ans a en effet été découvert près de Salvador de Bahia après les aveux du frère de l’accusée, qui l’avait aidé à enfouir la victime. Le couple était parti au Brésil pour présenter leur nouveau-né à la famille de la jeune femme, mais elle était revenue seule à Grenoble, en prétextant que son compagnon avait préféré rester au Brésil. Déjà interpellée en 2006 et remise en liberté faute de preuve, cette mère de famille dément toujours les faits.
Vénissieux : une mère avoue avoir tué son bébé
Le 4 avril dernier à Vénissieux, un bébé âgé d'un an et demi était poignardé dans son lit. Selon le Progrès, la mère de l'enfant aurait avoué aux enquêteurs avoir frappé son bébé à plusieurs reprises avec un grand couteau de cuisine. Mise en examen pour homicide volontaire, elle a été écrouée.
Un boulanger stéphanois tue son ex-employée
Un boulanger stéphanois de 28 ans a été mis en examen pour homicide volontaire. Mercredi dernier, son ex-employée, qui avait été licenciée pour inaptitude, est venue à la boulangerie pour tenter d’obtenir un certificat de travail, que cet employeur lui refusait depuis plusieurs mois. Le boulanger a alors frappé la femme avec une barre de fer, puis l’a étranglée avec une corde. Il a ensuite dissimulé le corps de sa victime dans une décharge sauvage dans le massif du Pilat dans la Loire. Après deux jours de garde à vue, le boulanger a reconnu les faits. Il risque jusqu’à 30 ans de prison.