Politique
Février 2010
Décidément, Gérard Collomb est le poil à gratter des caciques du PS. Le sénateur-maire de Lyon, qui, tour à tour, serait allé au débat sur l'identité nationale où Vincent Peillon s'est défaussé, et qui s'est rendu au dîner du CRIF en présence d'Eric Besson au contraire de Jean-Jack Queyranne, défend dorénavant Georges Frêche, prenant le contre-pied des positions de son parti. Le maire de Lyon tient à rappeler son amitié envers le socialiste héraultais au cœur de la polémique.