Social
Mars 2010
Instaurée en France par le gouvernement Mauroy en 1982, la journée de la femme se voulait, à son origine, protestataire et militante. Que reste-t-il aujourd’hui de ces valeurs de combat, entre parité et les violences parfois abominables faites aux femmes ? Pour Faïza Alami, présidente lyonnaise du mouvement «Ni Putes, ni soumises», ce paradoxe révèle un vrai malaise. Le combat pour les femmes doit continuer au delà de ces 24h, plus reconnues pour leur symbolisme que pour leur efficacité. Interview