Le centre du Vinatier lance une étude sur l'impact du confinement sur le sommeil et la dépression
Le centre du Vinatier veut étudier les conséquences du confinement sur le sommeil et sur la dépression.
OL : dépité par les mauvais résultats, il pose un arrêt de travail
Lendemain difficile après la défaite à Lisbonne.
Un gendarme à la retraite en dépression s’immole par le feu près de Lyon
Ce dimanche, près de l’étang de Besseye à Villemoirieu, un habitant a commis un geste désespéré et irréparable.
Rhône-Alpes dans le top 15 des régions les plus déprimées
L'entreprise IMS Health, spécialisée dans les études à destination des industries du médicament et des acteurs de santé, a décidé de se pencher sur la consommation en France des médicaments antidépresseurs en 2013.
Un dépressif délesté de plusieurs milliers d'euros par un ancien voisin
En mai 2008, un homme en proie à une sévère dépression rencontre une connaissance, son ancien voisin. Ce dernier est à la rue et demande à être hébergé dans son appartement du 2e arrondissement. Durant un an, il va bénéficier de cadeaux que le dépressif paye avec une assurance-vie qu'il a perçue. Voyage en Tunisie, vêtements de marque, selon le Progrès il dépense ainsi plusieurs dizaines de milliers d'euros. L'escroc va même tenter un gros coup en faisant croire à sa victime qu'il a été emprisonné en Espagne. Avec l'aide d'un complice qui se fait passer pour son avocat, ils réclament un versement de 30 000 euros pour le faire "libérer". Avec l'aide de son banquier, le dépressif va porter plainte. Trois prévenus étaient donc jugés jeudi à Lyon où ils ont niés avoir monté l'escroquerie espagnole. La victime réclame de son côté 45 000 euros. Six et douze mois de prison ferme ont été requis contre les deux accusés principaux. Le jugement sera rendu le 15 mars.
Le piège des antidépresseurs
Six millions de français en consomment tous les jours. Et depuis l’apparition des nouvelles molécules type Prozac, ils prennent des allures de panacée. Pourtant addictifs et parfois dangereux, les médicaments de type psychoactifs peuvent être prescrits sur simple consultation d’un médecin généraliste. Certes, si chaque personne connaissant un épisode dépressif est en droit d’être médicalisé, le cheminement vers une réponse chimique doit être extrêmement balisée. Et pour Patrick Lemoine, psychiatre à la clinique Lyon Lumières de Meyzieu, le médecin généraliste à toute légitimité à prescrire. Mais d’autres solutions alternatives existent face au fléau qu’est la dépression. Interview.