"On t’a vu sortir de chez les pédés" : une agression homophobe à Lyon ?
Ce week-end, un homme a été agressé à la sortie d'un établissement de nuit lyonnais, fréquenté par la communauté gay.
Meilleures villes LGBT dans le monde : Lyon dans le Top 50 !
La capitale des Gaules prend la 42e place de ce classement.
Lyon conserve son titre de ville la plus gay-friendly
Lyon a été élue ville la plus gay-friendly de France par le magazine Têtu du mois de juin, publié mercredi.
Lyon est l'une des villes les plus "gay friendly" de France
C'est le résultat de l'enquête menée par le magazine Têtu, dans son numéro de décembre.
Mariage gay : Belkacem réserve sa première grande annonce pour Lyon
La porte-parole du gouvernement et ministre du Droit des Femmes a profité de la gay-pride lyonnaise samedi pour assurer que le mariage homosexuel serait légalisé l'an prochain.
Cochet et Meunier ont signé un texte "homophobe" selon les associations gay
Douze députés rhônalpins ont apposé leur signature sur ce texte national publié lundi. Parmi eux, les deux élus du Rhône Philippe Cochet et Philippe Meunier. En tout, ce sont 82 députés UMP et Nouveau Centre qui l'ont signé au niveau national.Le manifeste exige "le droit fondamental de l’enfant d’être accueilli et de s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère". "Ces personnes ont choisi une vie sans possibilité d'enfants", tranche-t-il.Un récent sondage BVA démontre pourtant que les Français sont majoritairement favorables au mariage gay et à l'adoption des couples homos. A Lyon, l’association Lesbian and Gay Pride dénonce un texte "homophobe" : "Au nom de nos convictions politiques, nous refusons que des personnes soient montrées du doigt comme elles le sont dans ce manifeste. Les familles homoparentales sont cataloguées comme dangereuses", selon l'association.Elle s'est tout de même félicitée du recul de signataires car en 2006, ce texte recueillait l'appui de 174 députés.
Gérard Collomb penche pour le mariage homosexuel
Le maire de Lyon s’est étendu sur les problématiques liées à l’homosexualité, en particulier sur le mariage gay. Pour l’émission Plus Rose ma Ville, qui sera diffusée sur Pink TV le 3 décembre à 22h, Gérard Collomb est également revenu sur la polémique du kiss-in de mai sur le parvis de la primatiale St-Jean, organisé par l’antenne lyonnaise des LGBT (1).
Lyon aux couleurs de l'arc-en-ciel
La Gay Pride défile samedi dans les rues de Lyon. Pour cette 15e édition de la Marche des Fiertés Lesbiennes, Gaies, Bi et Trans, la manifestation regroupera 6 gros chars aux couleurs des homosexuels qui défileront en ville en musique. Comme tous les ans il s’agira pour le collectif de défendre les droits des homosexuels. David Souvestre, président du collectif lesbien, gay, bi et trans, fait le point pour Lyon Mag sur quinze ans de combat, et parfois quelques polémiques.
Les association mécontentes de la gestion calamiteuse du « kiss-in » de Saint-Jean
Douze associations de défense des Droits de l'Homme dénoncent la gestion calamiteuse du « kiss-in » de Saint-Jean. Quatre cents participants étaient présents mardi soir place Saint-Jean pour défendre les droits et la liberté d’expression des lesbiennes, gays, bi et trans. Comme attendu, la manifestation a été perturbée par les mouvements catholiques intégristes et les jeunesses identitaires. L’intervention des forces de l’ordre a été musclée.
Un Kiss-in place Saint-Jean
C’est un rassemblement controversé qui va se tenir place Saint Jean mardi soir. Le « Kiss-in » géant aura bien lieu à 19h, devant la cathédrale. Pendant 2 minutes 30, les Lyonnais, de toutes tendances sexuelles, sont invités à s’embrasser, devant l’édifice religieux. L’évènement avait dû être annulé samedi soir, faute d’une sécurité suffisante selon la préfecture. Des partis politiques d’extrême-droite et certains extrémistes catholiques lyonnais estiment que le choix du lieu de rassemblement est tout simplement provocateur et annoncent des représailles. De son côté, le cardinal Barbarin estime que cette manifestation provoque « un grand trouble dans les esprits des Lyonnais ».
Polémique autour d’un happening prévu samedi devant la Cathédrale Saint-Jean
A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie, des centaines de personnes, hétéro, homo, bi ou transsexuelles, sont attendues samedi à 20h30 pour s’embrasser pendant 2 minutes 30.