HCL : des dépassements d'honoraires abusifs
Le magasine "60 millions de consommateurs" a mené une enquête d'un an sur les dépassements d'honoraires pratiqués dans les CHU français. Le CHU de Lyon ne fait pas exception. Six médecins des HCL sont également pointés du doigt.Après l'investigation du mensuel, la sécurité sociale s'est saisie du dossier et a enquêté à son tour. Et les Hospices civils de Lyon sont dans le viseur. Les dépassements d'honoraires au CHU de Lyon peuvent atteindre jusqu'à 1 200 euros pour une opération de la cataracte et 2 000 euros pour une prothèse de la hanche affirme Le Progrès. Le Conseil de l'Ordre des médecins et l'assurance maladie sont chargés de contrôler les tarifs. Problème : dans la région, plus de la moitié des praticiens sont autorisés à pratiquer des dépassements d’honoraires dans les hôpitaux publics.
60 millions de consommateurs lance un pavé dans la mare
Après plus d'un an d'enquête, le mensuel a publié un dossier sur les dépassements d'honoraires dans les CHU, ce qui a amené la sécurité sociale à enquêter.Six médecins des Hospices civils de Lyon sont notamment dans le viseur. Le Progrès affirme par exemple qu'au CHU de Lyon, les dépassements d'honoraires peuvent atteindre 1 200 euros pour une opération de la cataracte, ou 2 000 euros pour une prothèse de la hanche. Dans la région, plus de la moitié des praticiens sont autorisés à pratiquer des dépassements d'honoraires dans les hôpitaux publics.
Un jeune auto-stoppeur passé à tabac à l'Isle d'Abeau
Selon le Progrès, il aurait été roué de coups dimanche matin par les trois passagers d'un véhicule qui s'était arrêté, dont un armé d'une manivelle. Les agresseurs l'ont ensuite abandonné au bord de la route. La victime, qui habite à Janneyrias, a été sérieusement blessée et a dû se faire poser 35 points de suture. Une enquête est en cours.
Trois appartements détruits par un incendie à Lyon
Le feu s'est déclaré mardi soir dans un immeuble de deux étages situé près de l'avenue Berthelot dans un appartement où des squatteurs se sont installés depuis quelques mois.Une quinzaine de pompiers a été mobilisée. Les locataires du 2e étage ont passé la nuit chez de la famille ou des amis, et pourront regagner rapidement leur logement. En revanche 3 appartements du rez-de-chaussée et du 1er étage ont été détruits. Une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine de l'incendie.
Un plombier tué par l'effondrement d'une dalle
Le bloc lui est tombé sur la tête. Ce drame s'est produit la semaine dernière sur un chantier du 3e arrondissement de Lyon.Il travaillait sur un chantier de rénovation d'une maison située rue Paul Bert, selon le Progrès. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances précises de cet accident. Le corps de cet habitant de Villeurbanne a été rapatrié en Algérie où réside une partie de sa famille. Il doit être inhumé aujourd'hui.
Gros coup de filet dans le nord-Isère
Neuf personnes ont été interpellées tôt lundi matin, à Villefontaine et à Bourgoin-Jallieu, pour trafic de stupéfiants. Les suspects sont tous majeurs. Un dixième individu a réussi à prendre la fuite. La police a saisi 3 kg et demi d'héroïne, près de 3 kg de résine de cannabis, 36 g de cocaïne et 900 euros en liquide. Une marchandise qui proviendrait d'Espagne. L'enquête se poursuit.
Un accident mortel du travail à Lyon
Un homme de 51 ans qui travaillait place de Fourvière, dans le 5e arrondissement, a été victime d’un malaise vers 13h50, lundi après-midi. Cet électricien était en train de travailler et a chuté de son escabeau. Les pompiers et le Samu ont tenté de la ranimer, mais en vain. Une enquête a été ouverte, tandis que l’inspection du travail s’est rendue sur place.
Les parents du nourisson mort de dénutrition à Vienne ont été mis en examen
La mère de l’enfant, poursuivie pour "privation de soins ayant entraîné la mort par ascendant" a été placée en détention provisoire. De son côté, le père, qui n'était pas présent la semaine du drame, a également été mis en examen pour s'être "soustrait sans motif légitime à ses obligations légales au point de compromettre gravement l'état de santé de son enfant". Le bébé de 10 mois était décédé en avril dernier, des suites d’un état de déshydratation sévère et de dénutrition.
La noyade d'un nourrisson mercredi dans l’Ain
L’enfant de 18 mois a échappé à la vigilance de ses parents, qui se trouvaient chez des amis, et est tombé dans une piscine non équipée de barrières. Cela se passait à Saint-Julien-en-Veyle. Rapidement sur place, les secours ne sont parvenus à le réanimer. Le parquet de Bourg-en-Bresse a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du drame et vérifier pourquoi la réglementation sur les piscines n'avait pas été respectée. Les parents du nourrisson n'ont pas encore déposé plainte.
Les parents du nourrisson décédé en Isère étaient connus des services sociaux
Le bébé de 10 mois, originaire de Péage en Roussillon, est mort de dénutrition et de déshydratation. Selon le Conseil Général, les parents étaient des toxicomanes identifiés depuis plusieurs années par les services sociaux. Le nourrisson avait fait l’objet d’un signalement auprès d’un juge pour enfant, qui avait ordonné la mise en place d’une aide éducative… Une association de protection de l’enfant ayant la charge d’appliquer cette décision… Le 1er enfant du couple avait lui été placé en famille d’accueil. L’enquête devra montrer comment il a été possible de ne pas s’apercevoir de l’état de santé du bébé.
Une enquête ouverte après le décès suspect d’un nourrisson
L’enfant de 10 mois est décédé la semaine dernière, probablement de malnutrition et de déshydratation, au centre hospitalier de Vienne. Une information pour privation de soins ayant entrainé la mort par ascendant a été ouverte. Une autopsie a été ordonnée. La mère du nourrisson est actuellement hospitalisée. Quant à son père, il était absent la semaine du drame.
Un enquête demandée par l'inspection d'académie au sujet de l'école privée Notre-Dame des Charmilles de la Tour-de-Salvagny
Il y a plusieurs semaines, certains élèves ont commis des violences sur un camarade âgé de 8 ans lors d’une classe de neige dans les Hautes-Alpes. Les blessures ont valu trois jours d'ITT à la jeune victime.
L'enquête sur l'arrestation de deux terroristes présumés se poursuit
L’un de ces deux hommes suspectés d’avoir des liens avec un groupe terroriste et arrêtés jeudi à Vienne en Isère était chercheur au centre de recherche nucléaire de Genève. Selon le Journal du Dimanche, ce chercheur français d'origine algérienne âgé de 32 ans aurait reconnu l'existence d'échanges cryptés avec le groupe terroriste Al Qaida au Maghreb islamique, rallié au réseau dirigé par Oussama ben Laden. Il aurait évoqué dans ces messages des projets d’attentats en France. Son frère de 25 ans, arrêté en même temps que lui à Vienne, a été mis hors de cause après plusieurs heures de garde à vue dans les locaux de la Direction centrale du renseignement intérieur de Levallois-Perret et remis en liberté.