Bataille rangée entre Lyonnais et Grenoblois dans le stade de Saint-Priest
Selon le Progrès, le match de CFA 2 entre Saint-Priest et Grenoble samedi soir a mal tourné dans les tribunes.
Grand emprunt : huit laboratoires rhônalpins lauréats
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche vient d'annoncer la liste des 71 lauréats de l'appel à projets des "Laboratoires d'excellence". Parmi les lauréats, huit laboratoires sont rhônalpins : Arcane à Grenoble, Comod à Lyon et Saint-Etienne, Cortex à Lyon, Bron et Ecully, Enigmass à Grenoble, Modane et Annecy, Persyval-Lab à Grenoble, Prismes à Lyon, Grenoble, Saint-Etienne, Bron, Oullins et Villeurbanne, RFIEA+ à Lyon et Tec XXI à Grenoble. Au total, 67 millions d'euros leur seront versés. Cette somme d'argent leur permettra de financer leurs projets de recherche jusqu'en 2020.
« Les fascistes arrivent chez nous ! Indignons-nous »
C'est le message qu'on peut lire sur des tracts distribués depuis deux jours à Villars-de-Lans en Isère.L'inquiétude se fait sentir dans la commune, alors que Rebeyne a prévu d'organiser un camp d'hiver à partir de ce vendredi et jusqu'à dimanche. Ces jeunes identitaires lyonnais sont à l'origine des « manifestations anti-racaille » à Lyon en octobre 2010 ou d'une « action contre l'islamisation » près de Grenoble. Sur le tract distribué aux commerçants du canton de Villars-de-Lans, un dessin montre un poing écrasant une croix gammée.
Fin de la grève à Lyon-Saint-Exupéry
Quatre syndicats d'agents de sûreté ont décidé lundi après-midi de mettre fin au mouvement qui durait depuis le 16 décembre.
Un homme arrêté à la descente de son avion à St-Exupéry
Cet homme qui arrivait d'Algérie vendredi soir est soupçonné d'avoir participé au meurtre d'un jeune de 24 ans en pleine rue à Grenoble en septembre dernier.
L’incompréhension et la colère des policiers grenoblois
Le second braqueur présumé du casino d'Uriage a été remis en liberté jeudi soir à l’issue de sa garde à vue. Il a été mis en examen pour "vol à main armée" et "tentative d'homicides volontaires sur agent de la force publique" et placé sous contrôle judiciaire.
La famille du braqueur lance un appel au calme à Grenoble
Depuis la mort de ce jeune homme de 27 ans vendredi, le quartier de la Villeneuve est sous haute tension.
"Il faut rétablir l'ordre immédiatement à Grenoble"
Brice Hortefeux était samedi à Grenoble suite aux violents incidents qui ont embrasé la ville après la mort d’un jeune homme au cours d’un braquage.
Un procès de la violence dans le foot à Grenoble
Deux hommes sont poursuivis pour avoir tiré avec un fusil de chasse sur un supporter, c’était en avril 2004. Alors qu’un groupe de Stéphanois se rendait au stade avant le derby entre les deux clubs, il avait été pris en chasse par une bande de la cité grenobloise du Mistral. Olivier, alors âgé de 20 ans, avait reçu une balle en pleine tête. Aujourd’hui, il ne peut plus travailler et souffre d’une incapacité de 50%. Il n’a aucun souvenir de cette dramatique soirée. Le tireur présumé âgé de 25 ans s’était rendu un mois et demi après les faits. Il parle d’un coup parti accidentellement et risque jusqu’à 15 ans de prison. L'autre prévenu comparaît pour complicité.
Un jeune homme de 23 ans mis en examen à Grenoble pour
Il a agressé son avocate après l'avoir brièvement séquestrée, mardi, quelques heures après avoir été condamné. L'homme conteste les faits.
L’enquête avance à Grenoble après la mort d’un sexagénaire
Il a été tué d’une balle dans la tête, vendredi soir. Le jeune homme de 19 ans, placé en garde à vue peu après le meurtre, a été mis hors de cause lundi. Il niait les faits. En revanche, il a reconnu une tentative de meurtre sur le fils de la victime il y a quelques mois. Les policiers grenoblois penchent pour une affaire de vengeance.
Un jeune de 19 ans en garde à vue à Grenoble
Il a été interpellé après la mort d'un sexagénaire, tué d'une balle dans la tête vendredi soir dans la capitale iséroise. Connu des services de police, il nie les faits mais devrait être déféré au parquet lundi matin. Selon la police, il pourrait s’agir d’une affaire de vengeances : le fils de la victime avait été visé par une tentative d'homicide en septembre dernier et en juin 2008, un homme avait été abattu dans le hall d'un immeuble de Grenoble.
Le suspect de l'agression de Grenoble devant le parquet
Ce jeune homme de 20 ans s’est rendu à la police mardi soir. Il est soupçonné d’être l’auteur des coups de couteau. Mais le scénario reste encore assez flou puisqu’il explique que la victime est tombée accidentellement sur son couteau lors de la bagarre.
Le principal suspect du lynchage à Grenoble s'est rendu
C’est une information du Dauphiné Libéré mercredi matin. Mais ce suspect nierait son implication malgré les témoignages et l’étude de la vidéo-surveillance.
Lyon - Grenoble : L'OL saisit le CNOSF
L’OL saisit le Comité National Olympique et Sportif Français après la confirmation de Ligue de fixer Lyon – Grenoble à samedi 17h.
Un couple de sans domicile fixe retrouvé mort dimanche à Grenoble
Le couple a été retrouvé par un promeneur dans une bâtisse en ruine au-dessus de la capitale iséroise. La femme serait semble-t-il décédée à la suite d'une chute du premier étage provoquée par l'effondrement du plancher. L'homme a lui été retrouvé dans son lit de fortune, sans doute mort de froid. Des autopsies seront effectuées lundi pour déterminer les causes exactes de ces deux décès.
Le schizophrène qui avait poignardé un étudiant à Grenoble déclaré irresponsable
Les faits remontent au 12 novembre 2008. Un homme, déjà auteur de plusieurs agressions à l'arme blanche pour lesquelles il avait été déclaré pénalement irresponsable, avait poignardé en pleine rue un étudiant de 26 ans, après s'être échappé d'un hôpital psychiatrique. Nicolas Sarkozy avait immédiatement annoncé une réforme de l'hospitalisation psychiatrique. Dans leur rapport remis aux juges d'instruction, trois experts lyonnais ont établi que la pathologie du meurtrier présumé, atteint d'une "schizophrénie paranoïde", "particulièrement réfractaire et résistante à de nombreux traitements", avait "aboli son discernement".
Le LOU freiné mais pas stoppé
Les rugbymen lyonnais ont fait match nul 9-9 samedi à Grenoble. Et il s'en est fallu de peu que les hommes de Raphaël Saint André ne l'emportent, ils peuvent donc nourrir quelques regrets bien qu'ils restent invaincus à l'extérieur. Il s'agit du quatrième résultat nul des lyonnais depuis le début de la saison mais Lionel Mallier, le 3e ligne du LOU, reconnaissait samedi qu'il y avait la place pour l'emporter. Ce 9-9 n'est pas catastrophique, les lyonnais gardent leur 2e place au classement après 12 journées de Pro D2.
Grenoble : une femme jugée pour avoir empoisonné son mari
Mardi, Marie-Rose Ginet, 67 ans, a comparu devant les assises de l’Isère pour avoir empoisonné son mari, Paul Ginet, 71 ans. Le 10 juillet 2005, elle avait donné une dose mortelle de somnifères à son époux, hémiplégique. Elle avait ensuite essayé de se suicider en prenant aussi des somnifères et en laissant ouvert le gaz dans leur maison de Saint-Michel-de-Saint-Geoirs. Sans succès. Pour sa défense, Marie-Rose Ginet a expliqué qu’elle voulait abréger les souffrances de son mari qui ne pouvait plus parler, ni respirer.
Grenoble : le schizophrène mis en examen
Le parquet de Grenoble a mis en examen, jeudi, pour "homicide volontaire" l’homme atteint de schizophrénie, Jean-Pierre Guillaud, qui a poignardé un étudiant le 12 novembre dernier, entraînant sa mort. Une expertise avait en effet conclu que son “état mental était compatible avec son audition et avec son éventuelle mise en examen". L'homme de 56 ans qui a avoué les faits a ensuite été placé en détention provisoire à l'hôpital psychiatrique de Saint-Egrève où toute sortie lui est désormais interdite. C'est en effet alors qu'il était hospitalisé dans cet établissement qu'il a échappé à la vigilance du personnel soignant pour aller tuer Luc Meunier. Il avait été interné en 2006 suite à une agression similaire, mais aussi en 1995. Deux délits pour lesquels il avait été déclaré pénalement irresponsable. Nicolas Sarkoy a immédiatement demandé des sanctions. Et notamment une enquête de l'inspection générale des affaires sociales. Ce qui a abouti à la suspension du directeur. Une mesure qui a déclenché une polémique puisque que les syndicats de psychiatres considèrent que ce fonctionnaire fait office de bouc-émissaire pour éviter d'évoquer le vrai problème : le manque de moyens des hôpitaux pour prendre en charge ce type de patients.