Lyon : contre le CETA, ils manifestent devant les bureaux de parlementaires
Il y a tout juste un an, l’accord de libre-échange entre l’Union Européenne et le Canada avait été voté devant l’Assemblée nationale.
Alliance de Collomb avec LR : "Il se perd lui-même" selon Castaner
Les réactions ne cessent de se multiplier ces dernières heures après l’annonce d’un accord entre l’actuel maire de Lyon et les Républicains.
Assurance chômage : quels changements pour les demandeurs d'emploi ?
Syndicats et patronat sont finalement parvenus à un accord dans la nuit de vendredi à samedi sur la renégociation de l'assurance-chômage.
Les pilotes d'EasyJet reprennent du service
Un préavis de grève avait été déposé pour les 17 et 19 août à Lyon et dans quatre autres villes de France. Le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) a finalement trouvé un accord jeudi soir avec la direction. Les 250 pilotes de la compagnie à bas coûts demandaient une hausse des salaires. Mercredi, la grève de ces pilotes n'avait entraîné aucune annulation à l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry.
Lyon et les professionnels de la nuit en passe de trouver un accord
Les patrons de bars de nuit et restaurants lyonnais ont demandé à être associés à l'élaboration de la future charte de la vie nocturne. Depuis la reprise du dossier par Annie Mesplède, chargée de l'événementiel auprès du maire de Lyon, la situation semble se débloquer. Les professionnels de la nuit se disent satisfaits à 90 % de la future charte, même si quelques points restent à peaufiner. Selon Le Progrès, ils ont d'ailleurs élaboré 26 propositions. Les discussions vont donc se poursuivre.
Vénissieux : les accords de compétitivité critiqués
Le gouvernement a annoncé qu'il donnait deux mois aux partenaires sociaux pour conclure des accords "majoritaires" au sein des entreprises. La durée de travail, les heures supplémentaires et l'organisation seront abordés lors des négociations. Le but : enterrer les 35 heures. Les salariés de l'usine Bosch de Vénissieux avaient déjà accepté de revenir sur les 35 heures en 2004. Mais maintenant ils s'y refusent. Les délégués syndicaux de la CGT se sentent "bernés": "On a perdu plus de 300 emplois sur le site alors qu'on avait accepté de travailler 36 heures par semaine et d'être payé 35". Pour eux, ce genre d'accord n'est qu'une solution temporaire et ne laisse aucune place à la négociation. Les délégués syndicaux ajoutent qu'ils ne sont "pas du tout rassuré sur l'avenir du site".
Un accord régional signé entre le Pôle Emploi et les métiers de la sécurité
L’objectif est d’aider à la création de plusieurs centaines d’emplois par an dans le secteur. Les agents du Pôle Emploi vont aiguiller les demandeurs vers l’examen obligatoire pour exercer le métier d’agent de sécurité. Les profils recherchés sont variés, à l’image des métiers qui vont du contrôle de l’accès des aéroports de la région à la surveillance de sites sensibles.