Le préfet du Rhône n’interdira pas le colloque d’extrême droite prévu ce week-end
Jean-François Carenco a annoncé jeudi matin qu’il n’interdirait pas le colloque d’extrême droite sur Pétain au Pavillon du Parc de la Tête d’Or, qui se tiendra selon lui, avec des "gens qui ont de vieilles idées."
Jean-François Carenco dit « non » aux Roms et « oui » à l’A45
Le préfet du Rhône et de la région Rhône-Alpes a clarifié ses positions face à la presse ce vendredi sur les sujets de l’actualité lyonnaise. Trains, autoroutes, Roms, hébergement d’urgence,… Compte-rendu d’une rencontre pleine de certitudes.
Le Préfet promet 200 places d’hébergement d’urgence supplémentaires
Leur nombre devrait atteindre 650 contre 440 l’hiver dernier dans le Rhône, a assuré Jean-François Carenco vendredi matin lors d’un point-presse. Pour cela, outre la résidence Saint-Irénée dans le 5e qui a déjà été réquisitionnée pour abriter les sans-abris l’an dernier, la Préfecture recherche deux bâtiments supplémentaires.
Un nouveau contrat Etat-Région pour développer l'apprentissage
Jean-François Carenco, préfet de région et Jean-Jack Queyranne, président du Conseil régional ont signé un nouvel engagement pour la période 2011-2015. Le Conseil régional et l'Etat financeront à part égale des actions de soutien de l'alternance auprès des centres de formations d'apprentis, les CFA, à hauteur de 80 millions d'euros par an. L'objectif est de porter à 53 000 le nombre de titulaires d'un contrat d'apprentissage en Rhône-Alpes d'ici 2015, contre 42 000 actuellement.
Le préfet du Rhône en visite au fort de Corbas
C'est lundi matin que Jean François Carenco s'est rendu sur place afin d'évoquer le futur du site."La situation actuelle du fort de Corbas ne peut perdurer" a affirmé le préfet du Rhône au cours d'une rencontre avec Jean-Claude Talbot, maire de la commune du Sud-Est lyonnais, comme le rapporte Le Progrès aujourd'hui.Cette discussion a également permis d'évoquer les possibles futurs fonctions du fort : un centre de déminage et/ou la création d'un site de stockage d'explosifs. Le maire de Corbas a quant à lui exprimer son opposition à un aménagement du fort qui selon lui "soulèverait des problèmes de sécurité et nuirait à l'image de la commune".
Vaulx-en Velin : le drapeau palestinien devra être retiré du fronton de la mairie
Le tribunal administratif a rendu jeudi matin sa décision. Le préfet du Rhône Jean-François Carenco avait saisi la justice au nom de la neutralité des services publics.
Affaire du drapeau palestinien : la justice rendra sa décision le 6 juillet
Le tribunal administratif rendra sa décision le 6 juillet dans l'affaire du drapeau palestinien sur la mairie de Vaulx-en-Velin. Ce drapeau flotte au-dessus du bâtiment depuis près d'un an pour exprimer la solidarité de Bernard Genin au peuple palestinien. Mais le préfet Jean-François Carenco a saisi la justice au nom de la neutralité des services publics.
Le préfet du Rhône ne veut plus du drapeau palestinien sur le fronton de la mairie de Vaulx-en-Velin
Jean-François Carenco a décidé de saisir le tribunal administratif, en vue de faire enlever ce drapeau, au nom de la neutralité des services publics. Le drapeau a été installé depuis un an par le maire Front de gauche, Bernard Genin. Il a maintenant 30 jours pour préparer sa défense.
Vers une fermeture seulement temporaire du local «néo-nazi» de Gerland ?
Estampillé comme tel par le collectif 69 de vigilance contre l’extrême-droite, le local du 22 impasse Faugier (7e), qui accueille l’association Rock & Gone, a été frappé de fermeture administrative. Une décision prise par arrêté municipal le 16 mai, au regard des injonctions d’aménagement du local émises par la Commission Communale de Sécurité de la ville de Lyon, et non-suivies d’effets.
Le local polémique du 7e arrondissement sous le coup d’une fermeture administrative
Selon le collectif 69 de vigilance contre l'extrême-droite, il s’agissait d’un local néo-nazi, occupé par une association d’extrême droite, la « Bunker Korps Lyon / Lyon Dissident. » ?Le local avait été déjà placé sous surveillance administrative, suite à la manifestation du collectif le 24 février. Il demande maintenant la fermeture de La Traboule, local des Jeunes Identitaires lyonnais situé dans le quartier Saint-Jean.
Cinq personnes condamnées après les manifestations des Identitaires et des forces de gauche samedi à Lyon
Ces cinq hommes, trois issus de mouvement de gauche et deux d'extrême droite, comparaissaient lundi devant le tribunal correctionnel de Lyon.
Identitaires / Forces de gauche : Collomb en appelle à la « conscience » des manifestants
Lyon va vivre samedi au rythme des manifestations. Les Identitaires sont attendus à 14h30 place Saint-Jean (69), alors que le collectif 69 de vigilance contre l’extrême -droite partira à 14h de la place des Terreaux. Les deux entités, diamétralement opposées idéologiquement, devraient théoriquement ne pas se croiser. Gérard Collomb, qui redoute un affrontement entre les deux cortèges, en appelle à la « conscience » des manifestants.
Les associations maintiennent une contre-manifestation face aux Identitaires
Le collectif 69 de vigilance contre l’extrême-droite a confirmé, lors d’une conférence de presse tenue mercredi à la Bourse du Travail de Lyon, qu’ils ne renonçaient pas à défiler samedi. Ils souhaitent, pour faire écho aux Identitaires, se mobiliser contre « la violence d’extrême-droite qui se banalise. »
Le « rassemblement pour la liberté » autorisé par la préfecture du Rhône
La « marche des cochons » interdite, les Identitaires lyonnais pourront quand même se réunir samedi place Saint-Jean. La préfecture du Rhône a en effet autorisé mercredi leur « rassemblement pour la liberté. »
Le collectif 69 de vigilance contre l’extrême-droite maintient sa contre-manifestation
Alors que les Identitaires lyonnais présentaient lundi leur « rassemblement pour la liberté d’expression » prévu le 14 mai sur la place Saint-Jean, le collectif 69 de vigilance contre l’extrême-droite annonce mardi maintenir sa contre-manifestation contre les organisateurs de feu « la marche des cochons. »
Les Identitaires lyonnais se parent de liberté pour faire leur cochonnerie
Visant à dénoncer à l’origine l’expansion du marché du Halal, l’interdiction préfectorale opposée à la « marche des cochons » donne aux Identitaires lyonnais l’occasion de ratisser large, en dénonçant le musèlement dont ils s’estiment être victime. Ils organisent désormais le « rassemblement pour la liberté », le 14 mai à 14h30 place Saint-Jean, pour dénoncer cette « scandaleuse interdiction. »
La marche des cochons devient le « rassemblement pour la liberté »?
Les organisateurs de la marche des cochons ont informé lundi avoir maintenu leur mobilisation pour le 14 mars, changeant l'intitulé de l'évènement.
Les anti-marche des cochons restent en veille
Constitués principalement d’associations - réunis sous la bannière Collectif 69 de vigilance contre l'extrême-droite - d’Europe écologie les Verts et du PS, les opposants à la marche des cochons ne se contentent pas de dénoncer la manifestation du 14 mai. S’ils prennent acte de l’interdiction préfectorale et judiciaire opposée aux organisateurs de la marche porcine, ils mettent plus généralement en avant « la dangerosité des groupuscules d'extrême droite », qu'ils dénoncent « depuis près de deux ans. »
Marche des cochons interdite : les identitaires « entendent organiser leur riposte »
Les identitaires lyonnais, à l’origine de la marche des cochons, n’entendent pas « se soumettre » - selon leurs termes - aux décisions préfectorale et judiciaire interdisant la tenue de l’évènement le 14 mai. Dans un communiqué vendredi soir, ils assurent être « interdits mais toujours insoumis. »
Gérard Collomb « se félicite » de l’interdiction de la marche de cochons
Le maire de Lyon, très discret sur le sujet jusqu'à présent, s’est réjoui vendredi de cette interdiction maintenue par le tribunal administratif. La Ville a d’ailleurs apporté des arguments pour que le juge des référés confirme l’interdiction opposée mercredi par la préfecture du Rhône à la tenue de l'évènement.