Une campagne lyonnaise singulière
Drôle de campagne qui ne ressemble à aucune de ses précédentes.
Collomb et Lyon, une passion étouffante
La passation de pouvoirs, place Beauvau, entre Gérard Collomb et le Premier ministre a dû laisser plus d’un spectateur incrédule.
Henry Chabert, un gentilhomme lyonnais
L’annonce brutale du décès d’Henry Chabert marque la disparition d’un authentique gentilhomme lyonnais.
Collomb et Macron, une métaphore de Yoda et du jeune Skywalker
Pour les amateurs de Star Wars, le duo politique formé par Collomb et Macron ne peut qu’évoquer la période d’apprentissage du jeune Skywalker auprès du vénérable maître Yoda.
Compétence et récompense
Les investitures aux futures élections législatives du Rhône, accordées par la commission nationale des Républicains n’ont pas manqué, à juste titre, de défrayer la chronique.
Sauvons le musée des Tissus !
L’annonce, désormais quasi certaine, de la fermeture du musée des Tissus est édifiante en terme de faillite de la gouvernance des collectivités lyonnaises.
Guy Walter, prince des arts et de la dépense publique
Ce n’est pas la vie rêvée de Walter Mitty* mais presque !
Wauquiez et Collomb expédient Queyranne au cimetière des éléphants
Pour une belle victoire c’est une belle victoire !
Métro, boulot, dodo
Tel pourrait être le slogan de campagne de Gérard Collomb.
Gérard Collomb ou le socialisme comme art de la prestidigitation
Gérard Collomb a souvent aimé entendre dire qu’il était un artiste en politique, il l’a cru certainement lorsqu’il avait réussi à se faire élire président du Grand Lyon.
Le goût de l'alternance
Les Français ont pris goût à l’alternance, ils l’ont systématiquement imposée lors des élections locales intermédiaires puis plus récemment à l’occasion des deux derniers scrutins nationaux.
La liste de Collomb
Il ne s’agit pas encore des listes de candidats socialistes que présentera le maire sortant dans les arrondissements lyonnais mais bien de la liste des différents soutiens dénommés "Acteurs de la ville" et qui s’affichent désormais aux cotés de Gérard Collomb pour la future bataille municipale.
Un sondage en forme de bulletin scolaire
Ce fameux sondage sur la notoriété des éventuels candidats de la droite à l’élection municipale lyonnaise est tombé à la façon d’un bulletin scolaire.
Lendemain de sondages à l'UMP
La décision d’enterrer les primaires de la droite lyonnaise à l’élection municipale lyonnaise de 2014 semble actée par la direction nationale de l’UMP.
Cinq règles pour que la droite lyonnaise réussisse ses primaires
1) Les fixer dans un délai raisonnable soit pour la fin juin, date du deuxième tour, soit pour la fin septembre au plus tard.
Du Bleu qui tâche
Les espagnols connaissent une crise économique plus grave que celle qui affecte la France mais leurs footballeurs prennent toujours plaisir à jouer, ce qui n’est pas le cas des nôtres. La séquence qui va de l’Euro 2008 à l’Euro 2012 en passant par la coupe du monde 2010 est révélatrice de l’état d’esprit calamiteux qui s’est installé dans la sélection nationale de football à la différence, fort heureusement, d’autres sports comme le handball, le rugby ou la natation. L’explication sportive reviendra aux nombreux commentateurs du foot, légion de spécialistes qui envahissent les plateaux des télés et radios, et dont l’expression éphémère leur permet souvent de se contredire d’un jour à l’autre sans que personne n’y prête attention.
La vie en rose
Les Français ne font plus les choses à moitié. Cette nouvelle alternance, comparable à celle de 1981, démontre qu’ils ne voulaient plus de la cohabitation, déjà expérimentée dans des mandatures précédentes. Cette victoire très importante du parti socialiste et de ses alliés était déjà en germe dans le succès des primaires de l’automne dernier, décrite dans ces colonnes comme "un essai transformé."
Une mauvaise impression
La première impression est la bonne, proclame la sagesse populaire. Nicolas Sarkozy aurait du méditer ce dicton en mai 2007 avant d’organiser sa fête de victoire présidentielle au Fouquets, puis de gagner le yacht de Bolloré pour quelques jours de repos. Ces deux images le poursuivirent tout le temps de son mandat, servant même de support récurrent à ses opposants pour le discréditer aux yeux de l’opinion publique. Il est d’ailleurs étonnant que l’entourage du président sortant n’ait jamais pu effacer ces deux faux symboles du quinquennat naissant, démontrant par exemple que le coût de location de la très chic Maison de l’Amérique latine par Ségolène Royal était largement supérieur à celui du cocktail offert pour 60 personnes par les amis du vainqueur. Mais ceci appartient désormais à la petite histoire de la République.