Aziz Derbal, figure du grand banditisme lyonnais, a été écroué pour trafic de stupéfiant
Aziz Derbal, 48 ans a été mis en examen et écroué ce samedi pour trafic de stupéfiants.
Lyon : un homme arrêté pour trafic de stupéfiants
Ce vendredi, un homme a été interpellé par la police pour outrage et rébellion avant d’être arrêté pour trafic de stupéfiants dans le 5e arrondissement de Lyon.
Lyon : 8 mois de prison ferme pour trafic de stupéfiants
Un homme de 23 ans a été condamné à huit mois de prison ferme lundi par le tribunal de Lyon, pour trafic de stupéfiants.
Val de Saône : deux dealers d'un important trafic de stupéfiants écroués
Deux dealers présumés ont été incarcérés vendredi après une opération de la gendarmerie dans le but de démanteler un trafic de résine de cannabis et de cocaïne rapporte le Progrès.
Des mineures droguées et violées à Lyon
Des jeunes filles mineures auraient été initiées à la cocaïne, avant d'être abusées sexuellement dans l'affaire d'un important trafic de drogue démantelé la semaine dernière. Un coup de filet dans le monde de la nuit. Les deux têtes présumées d'un important réseau de trafic de cocaïne avaient été arrêtées. Un homme de 53 ans a été mis en examen et écroué pour trafic de drogue. Il est aussi soupçonné d'avoir fourni des jeunes filles en cocaïne, dont des mineures, avant d'exiger d'elles des faveurs sexuelles. L'enquête se poursuit.
Un Nigérian de 42 ans a été condamné à Lyon pour trafic de drogue
2 ans de prison, dont 6 mois avec sursis, et 5 ans d'interdiction de territoire. C'est le verdict qui est tombé mardi.Il avait été arrêté vendredi dernier selon le Progrès, après avoir été contrôlé par des douaniers dans un TGV Paris-Milan. Une radio avait montré qu'il transportait des capsules de cocaïnes à l'intérieur de son corps. 255g en tout, soit une valeur marchande de plus de 19 000 euros.
Suite de l'affaire de blanchiment d'argent
Quatre des suspects ont été mis en examen jeudi selon Le Progrès, dont deux ont été écroués. En tout, neuf personnes sont mises en cause dans cette affaire.1,2 million d'euros en liquide avaient été retrouvés samedi dernier dans un appartement de Pierre-Bénite et dans un camion. L'enjeu maintenant de l'enquête est de savoir d'où provenait cet argent, sans doute en lien avec des trafics de stupéfiant.
Le dossier de Michel Neyret annulé ?
La cour d'appel de Paris doit examiner ce jeudi une demande d'annulation de la procédure.Elle a été déposée par les avocats de certains mis en cause dans cette affaire de corruption et de trafic de stupéfiants. Selon eux, les écoutes téléphoniques faites par la police des polices, et qui ont permis d'arrêter l'ex numéro 2 de la PJ de Lyon, n'ont pas été transmises en bonne et due forme à la justice, ce qui pourrait faire annuler le dossier.
1,2 million d’euros en liquide saisis par la PJ de Lyon
Tout est parti d’écoutes téléphoniques menées à Lyon dans le cadre d’une instruction judiciaire pour un trafic de stupéfiants. Selon le Progrès, samedi dernier, l’enquête conduit les policiers à intercepter dans le Vaucluse un camion d’une société marocaine transportant officiellement des tomates. C’est là qu’ils découvrent un premier gros pactole de 451 000 euros. Ils mettent ensuite la main sur plus de 700 000 euros en petites coupures dans l’appartement d’un des suspects à Pierre-Bénite.Ces derniers jours, neuf personnes ont été interpellées dans l’agglomération lyonnaise, en Isère et dans le Vaucluse. Mercredi soir, quatre d'entre elles, dont les deux chauffeurs du camion, ont été mises en examen et écrouées. Une femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire. Les quatre autres suspects doivent être présentés au juge d’instruction dans la journée de jeudi.Cette saisie record de quasiment 1,2 million d'euros a permis de mettre au jour un vaste réseau présumé de blanchiment d’argent, très bien rodé, fonctionnant depuis au moins l’été 2010, et qui aurait fait transiter plus de 10 millions d’euros en l’espace de quatre mois, selon des sources proches du dossier, à destination du Maroc. L’enquête se poursuit pour déterminer d’où provenait cet argent, sans doute de revenus du crime organisé, et pour faire tomber les têtes du réseau.