Saint-Priest : chômage technique confirmé chez Renault Trucks
Les mesures annoncées début novembre ont été confirmées.
Démission du président de Renault Trucks
Heinz-Jürgen Löw quittera ses fonctions chez le constructeur de Saint-Priest à la fin novembre.
Renault Trucks France a un nouveau directeur
Dominique Pollien a été nommé directeur du pôle France du constructeur de poids-lourd en France. Celui qui a passé toute sa carrière professionnelle à Renault Trucks (directeur des ventes au Moyen-Orient, en Afrique, en Espagne et en Europe de l'Est), il est chargé de renforcer la position de leader du constructeur sur le marché. "Pour augmenter nos parts de marché, nous devons conquérir des clients un à un", précise-t-il dans un communiqué, avec une première action : la formation du réseau français.
Grève des salariés de Renault Trucks
Un mouvement à l'appel des syndicats, à l'occasion des négociations salariales qui ont débuté le 1er février et qui se poursuivent ce lundi. Une 2e réunion sur les salaires est prévue. Les syndicats demandent une augmentation générale.
Renault Trucks : campement des salariés devant le site de Vénissieux
Ils dénoncent le projet de la direction de supprimer les lignes de bus accessibles au personnel pour venir travailler. La CGT déplore l'impact de cette mesure sur les bas salaires. Selon le syndicat les salariés qui vont devoir acheter une voiture pour se rendre au travail, pourraient dépenser jusqu'à 3000 euros de plus par an.
Changement anticipé à la tête de Renault Trucks
Le président de Renault Trucks SAS, Stefano Chmielewski, va quitter ses fonctions dès le 1er novembre prochain, soit deux mois plus tôt que prévu.
Les propos du PDG de Renault Trucks dénoncés par la CGT
Après les déclarations jeudi de Stefano Chmielewski sur ses employés, les syndicats n’ont pas tardé à réagir.Selon Frédéric Panetié, délégué syndical CGT, son PDG "n’apprécie pas d’être mis sur la touche et mine le terrain pour son successeur. (…) C’est un provocateur mais ses propos sont indignes d’un PDG".Concernant l'absentéisme, la CGT remet en cause les chiffres donnés par leur patron (5,29 % et non 12%) mais reconnait que des salariés ne se présentent plus quotidiennement au travail. Et pour cause, "les charges de travail ont augmenté, certains salariés craquent et fondent en larmes sur leur chaîne de montage", conclut-il.Dans un communiqué, la CGT souhaite "bon vent" à son patron : "C’est la fin de règne du Bling Bling, de l’utilisation de l’argent de Renault Trucks pour soutenir son club de foot italien, de ses exhibitions en voiture de luxe dans l’établissement, etc..."
Quatre techniciens de l'usine Renault Trucks de St Priest blessés
En cause : l'explosion d'une armoire électrique, alors qu'ils terminaient l'installation du système de commandes d'un nouveau transformateur. Lundi soir, ils ont reçu de plein fouet le souffle de l'explosion et ont été brûlés aux bras. Les quatre hommes ont été transportés à Lyon, au pavillon des grands brûlés à Edouard-Herriot et à l'hôpital Saint-Joseph.
Une grève chez Renault Trucks à Lyon
Selon la CGT, plus de 300 salariés ont cessé le travail mardi matin. Ils protestent contre la volonté de leur direction de supprimer les lignes de car qui les emmènent sur le site de Vénissieux. Ils s'opposent également à la sous-traitance de l'ensemble des services.
Près de 300 salariés de Renault Trucks en grève mercredi
Ils se sont rassemblés devant l’une des entrées des usines de Saint-Priest mercredi matin.
Mesures de chômage partiel prolongées chez Renault Trucks
Les 5 000 salariés de la région lyonnaise ont vu leur temps de travail réduit depuis le début de la crise tout en percevant 95% de leur salaire. L’accord entre direction et syndicats doit normalement prendre fin le mois prochain mais des discussions sont en cours pour le renouveler jusqu’en septembre avec les même garanties pour les salariés. Après avoir vu son chiffre d’affaires fondre de moitié l’année dernière, Renault Trucks table sur une reprise des ventes de +10% cette année.
Un plan de dispense d'activité chez Renault Trucks
Un comité central d’entreprise s’est tenu mardi au siège de Renault Trucks à Vénissieux. La direction a annoncé un plan de dispense d’activité, c’est-à-dire que les salariés nés entre 1950 et 1952 pourront, s'ils le souhaitent, cesser leur activité jusqu'à leur retraite, en conservant une partie de leur salaire. Huit cents personnes, sur les 10000 salariés du groupe seraient concernées.
Le chômage partiel va se poursuivre chez Renault Trucks
Un comité central d’entreprise extraordinaire s’est tenu mardi matin au siège de Vénissieux car la période de chômage partiel entamée le 1er janvier dernier prend fin ce mercredi. La direction va demander à adhérer à la convention d’activité partielle longue durée au moins jusqu’à la fin de l’année. En cas de signature avec l’Etat, cela signifierait que les salariés soumis au chômage partiel toucheraient 75% de leur salaire brut et qu’ils seraient à l’abri d’un plan social au cours de ces 6 prochains mois.
Chômage partiel à Renault Trucks
Le constructeur de camions Renault-Trucks, basé à St Priest dans le Rhône, vient d’annoncer une mesure de chômage partiel de 90 jours en 2009. Le groupe qui est fortement touché par la crise économique comme la plupart des autres constructeurs automobile, prévoie une baisse de 35 % de ces commandes pour l’année prochaine. Les jours chomés seront le jeudi et vendredi à partir du 1er janvier, puis le mercredi à partir du second trimestre. Seuls les sites de production de Lyon, Bourg en Bresse et Blainville sur Orne dans le Calvados sont concernés par cette mesure. Suite à cette annonce, et à l’appel de FO, une soixante de salariés du site de Bourg en Bresse ont débrayé. Le groupe Renault-Trucks, qui réalise 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, emploie 14 salariés dans le monde dont 10 000 en France.
Un camion benne écolo testé à Lyon
Après trois ans de travail, Renault Trucks, basée à Saint-Priest, va lancer début octobre le “Renault Premium DistributionHybrys Tech”. Un camion-benne de 10m de long qui permettra de réduire de 30% les émissions de CO2 grâce notamment à un moteur hybride. Le principe : une batterie intégrée au moteur permet de récupérer de l’énergie à chaque fois que le conducteur freine, grâce à un système de turbine. Cette énergie est ensuite utilisée pour démarrer le camion et lui permettre de rouler jusqu’à 20 km/h. D’où une économie de 30% de carburant. Si le test lyonnais est concluant, une commercialisation à plus grande échelle de ces camions-bennes est prévue pour fin 2009.
Le blog éco
Alain Mérieux prépare sa succession, Thannberger et Cie s'introduit en bourse, résultats décevants pour le groupe Partouche, Renault Trucks veut racheter Nexter, l'ex-Giat...
Hausse des ventes de Renault Trucks
Le fabricant de camion installé à Saint Priest a annoncé des ventes quasi-stables sur 2007 à + 1,6%. Et sur le marché français, le constructeur filiale de Volvo AB, a perdu 3% de parts de marché à 32,2%. L’entreprise, qui est dirigée par Stéfano Chmielewski et qui emploie 14 360 salariés, n’a pas communiqué son résultat net.
Prostitution chez Renault Trucks
Le Progrès révèle ce matin une affaire pas banale. L'affaire date de plusieurs semaines. Deux salariées qui travaillent sur le site de Bourg-en-Bresse de Renault Trucks, se seraient prostituées pendant les pauses. Les passes se seraient déroulées sur le parking de l'entreprise, dans les véhicules des deux femmes.