Rentrée agitée au Conseil municipal !
Coupe Davis, Cap Canal, SACVL, Confluence, ce sont tous les dossiers chauds de la municipalité lyonnaise qui sont passés à l’ordre du jour lundi en salle du conseil. Le groupe Ensemble pour Lyon a même quitté l’hémicycle en fin de séance ! Récit.
Piscines, horodateurs et écrêtement pour la dernière séance du Conseil municipal
Mis à part quelques pics lancés par la majorité socialiste en direction des membres de l’UMP et qui portaient sur l’affaire Woerth / Bettencourt, de nombreux dossiers ont été adoptés. Notamment concernant la rénovation du bassin nord de la piscine du Rhône ou la mise en place de ruches dans le centre ville de Lyon pour favoriser la pollinisation, à travers le projet "Urbanbees".
Dernière séance du conseil municipal avant les vacances
Pour cette dernière séance avant les vacances, c'est un conseil municipal à l'ordre du jour plutôt chargé qui attend les élus, lundi dès 16h.
Conseil municipal : le Transbo et l’affiche de la Fête de la musique font débat
Attribuée à la société Eldorado et Cie, la délégation de service public pour la gestion du Transbordeur a mobilisé toute l’opposition au conseil municipal lundi soir. En cause : les conditions de l’attribution, mais également l’opportunité du choix de Jean-Pierre Pommier. Plus anecdotique, le slogan figurant sur l’affiche de la Fête de la musique a également fait l’objet d’une mise au point.
Le conseil municipal de Lyon se tient lundi soir
Il doit valider l’attribution de la gestion du Transbordeur à l’organisateur de spectacles Eldorado & Co.
Un conseil municipal extraordinaire mercredi soir à Rillieux-la-Pape
Le maire socialiste Renaud Gauquelin ne veut pas que la brigade de gendarmerie de la commune soit remplacée par un commissariat de police. Selon lui, les effectifs de policiers prévus pour 2011 seraient "insuffisants".
Aubry recadre une nouvelle fois Collomb
Après les attaques de son porte-parole Benoit Hamon, c’est au tour de Martine Aubry, secrétaire nationale du PS, de réitérer ses mises en gardes contre Gérard Collomb. Elle l’a fait à huis clos devant un parterre de sénateurs, le 25 mai. Le maire de Lyon, un temps à l’initiative du mouvement de la gauche réformiste, devient de plus en plus esseulé au sein de son propre camp. Compliqué.
Le Parti socialiste devrait choisir son candidat à l'élection présidentielle de 2012 vers l'été 2011
C’est ce qu’a déclaré dimanche la première secrétaire du PS Martine Aubry.
Les élus du Conseil Municipal approuvent le compte final de 2009
Un bilan stable et « performant » pour l’exécutif en place, puisque les dépenses n’ont augmenté que de 0,7% entre 2008 et 2009. La dette, elle-aussi, reste stable, à hauteur de 430 millions d’euros. Ce sont les postes éducation/petite enfance et culture qui absorbent une large partie des dépenses, entre 100 et 120 millions d’euros. Selon la municipalité, aucune augmentation d’impôts n’est prévue à Lyon d’ici la fin du mandat de Gérard Collomb. Enfin, dernier chiffre, l’investissement devrait nettement augmenter dans les prochaines années : de 80 millions aujourd’hui à 120 millions d’euros en 2013. Le point en interveiw avec Gérard Collomb.
Un conseil municipal chargé lundi soir à Lyon
A l’ordre du jour : le Grand stade de Décines, la hausse des tarifs du périphérique nord ou encore le gardiennage des Berges du Rhône, jugé illégal par la chambre régionale des comptes.
Conseil Municipal : Entre nouvelle donne à droite et dossiers brûlants
Beaucoup de sujets ont été abordés lors de la réunion du Conseil municipal du 12 avril dernier, et hommage à été rendu aux citoyens de Pologne suite à la disparition de leur président dans un accident d'avion. Le morcèlement de la droite se confirme avec le lancement de «Lyon Divers Droite», les impôts locaux directs n’augmenterons pas en 2010, et la SACVL revend ses biens pour se remettre à flot. Quant au quartier Grolée, il reste toujours dans l’expectative. Compte-rendu.
Le conseil municipal de Lyon se déroule lundi après-midi
A l’ordre du jour le quartier Grôlée ou encore la desserte des bus sur le site Confluence.
Les élus lyonnais pas toujours présents au conseil municipal
Une enquête du Progrès montre que sur les 73 élus à siéger, seulement 12 ont assisté aux 18 séances intégrales depuis leur élection de mars 2008. Le maire de Lyon, Gérard Collomb, et deux de ses adjoints sont les bons élèves avec 100% de présence. L’élu UMP François Turcas n’a lui suivi qu’une séance complète en 2 ans. Ces séances du conseil municipal peuvent durer près de 5 heures pour présenter les dossiers.
Conseil municipal : débat autour de la petite enfance
Le conseil municipal du mardi 25 novembre a été marqué par une vive altercation entre Gérard Collomb et Inès de Lavernée, conseillère municipale UMP du 2e arrondissement. L’objet du débat : la mise en place de jardins d’éveil à Lyon pour les enfants de moins de deux ans. Ce que refuse catégoriquement le maire de Lyon : “L’Etat se désengage de ses responsabilités puisque ces expérimentations vont se faire sur les crédits de la ville” a expliqué Gérard Collomb, en ajoutant : “Lors du dernier mandat nous avons fait un effort financier considérable de 30 millions d’euros pour créer 800 places de crèche. Or, avec cette décision de mettre les enfants de moins de deux ans dans des jardins d’éveil, c’est plus de 1 000 enfants lyonnais qui devront être accueillis dans de nouvelles structures.”
Finances de Lyon : la dette reste stable
Au cours du conseil municipal de Lyon qui s’est tenu lundi 26 mai, la majorité socialiste a adopté sans surprise le compte administratif 2007 présenté par Richard Brumm, adjoint aux Finances publiques. La dette de la ville est restée stable par rapport aux années précédentes. Et l’encours est désormais estimé à 7,3 années contre 7,8 en 2001. Les conseillers de la majorité ont donc félicité le maire, Gérard Collomb, d’avoir rempli ses objectifs en matière sociale avec la construction d’un gymnase dans le 8ème arrondissement, d’un établissement multi-accueil dans 5ème mais aussi de crèches et d’écoles. Alors que l’opposition menée par Michel Havard a souligné l’augmentation “inquiétante” des frais de fonctionnement : + 3,6 % pour 2007. En demandant au maire de rester vigilant. Mais Gérard Collomb a immédiatement répliqué en déclarant que “ les 119 postes crées l’an dernier étaient indispensables à la ville de Lyon et son attractivité”.
Conseil municipal : 8 groupes politiques à Lyon
Les 73 nouveaux conseillers municipaux se sont réunis lundi 31 mars à l'hôtel de ville de Lyon, pour désigner les délégués de la ville au sein des divers groupements d’intérêts publics, sociétés d’économie mixtes, conseils ou commissions. L’enjeu était également de connaître le nombre de délégués qui représenteront Lyon à la Communauté urbaine. Hormis un ou deux absents, le conseil municipal, présidé par Gérard Collomb, était au grand complet. Dans une ambiance assez détendue et même dissipée, avec beaucoup d'élus qui parlaient, envoyaient des SMS... Le milloniste Armaury Nardone s’est d’ailleurs éclipsé avant la fin du conseil alors que la nouvelle adjointe Heïdi Giovacchini semblait pressée que la séance se termine. D’autant plus que les votes ont été sans surprise, Gérard Collomb appelant son camp à “voter pour les listes de la majorité”. Michel Havard, le nouveau chef de file de l’opposition UMP, répliquait en demandant à son groupe de “voter pour les listes de l’opposition”. Mais on a aussi appris qu'il y aura huit groupes politiques au sein du conseil. Dont le PS qui sera présidé par Jean-Yves Sécheresse, les Verts par Pierre Hémon, le PC par Nicole Gay, le PRG par Thierry Braillard... Mais aussi deux groupes Modem : les pro-Collomb, appelé Groupe Démocrates, avec Gilles Vesco, Heïdi Giovacchini et Thomas Rudigoz. Alors que les pro-Perben sont rassemblés dans Lyon Démocrate Modem, avec notamment Christophe Geourjon. La séance s’est terminée avec le vote des représentants à la Communauté urba
L'UMP absent du dernier conseil municipal
L’ambiance était assez tendue pour ce dernier conseil municipal avant les élections de mars prochain. En meneur de l’opposition : le milloniste Amaury Nardone, qui est intervenu sur la quasi-totalité des dossiers. Prenant même les temps de parole de l’UMP, dont les élus ont été complètement absents lors de ce dernier conseil. Au grand regret d’ailleurs de l’UMP Marie-Chantal Desbazeille, qui estime qu’il n’y a plus d’opposition UMP à Lyon. Amaury Nardone a donc été le chef de file de l’opposition pendant près de 4 heures, en lançant à plusieurs reprises des attaques contre le maire socialiste sortant, Gérard Collomb. En lui reprochant de refuser le débat et en lui conseillant "de sortir de son rôle de maire pour enfin endosser le costume de candidat à la mairie". Mais Nardone a également remis en cause le rapport sur les taux d’imposition à Lyon. Malgré un bilan plutôt positif présenté par Yvon Deschamps, l’adjoint aux finances, l'élu milloniste estime que "les dépenses de personnel de la ville ne sont pas maîtrisées et que la gestion de Collomb manque de transparence". Même constat sur la hausse des effectifs du personnel municipal, alors que "le taux d’absentéisme avoisine les 11%, soit 23 jours non travaillés par an et par agent". Enfin, Nardone a dénoncé les coûts de rénovation du stade de Gerland et de sa pelouse, près de 1 million d'euros, "pour un stade qui sera bientôt vide", puisque l'OL devrait jouer d'ici 2011 dans son nouveau stade à Décines. A noter que trois élus ont été applaudis par le conseil municipal, car ils se retirent après plus de
Calme plat au conseil municipal
Le premier conseil municipal de 2008 a été bien calme, juste perturbé par le passage éclair de Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique lyonnais, accompagné de la délégation chinoise de football qui est à Lyon pour faire un stage de préparation en vue des JO de Pékin de cet été. Une fois le calme revenu, les dossiers se sont succédés sans aucun débat : donner le nom de Raymond Barre, ancien maire de Lyon de 1995 à 2001, à la place située devant l’Amphithéâtre à la Cité internationale, attribuer une subvention de 1,759 million d'euros à la fondation Fourvière pour rénover la Basilique, renforcer le nombre de places disponibles pour les sans-abris... Seuls deux dossiers ont un peu réveillé les millonistes. Denis Broliquier, maire du 2e, refuse que la MJC de Perrache soit installée le long de la Saône à Confluence, car il trouve le quartier trop excentré et pas assez sûr. Puis Amaury Nardone a dénoncé les “méthodes cyniques” de Collomb et “un comportement anti- démocratique” car l’opposition n’a jamais eu la parole dans l’émission Lyon Citoyen TV diffusée sur TLM.
Conseil municipal : la droite face à ses contradictions
Hier soir, pour la première fois depuis les élections municipales, UMP et millonistes se sont entendus pour critiquer le maire de Lyon. Signe que la campagne municipale a vraiment commencé.
Un conseil municipal musclé
Le conseil municipal a voté à l’unanimité le principe de la candidature lyonnaise au titre de capitale européenne de la culture 2013. Ce qui n’a pas empêché un débat animé. C’est donc officiel, la ville de Lyon est bien candidate pour être “capitale européenne de la culture” en 2013, comme Bordeaux, Marseille, Nice, Strasbourg et Saint-Etienne. Le choix entre ces cinq villes interviendra courant 2008. Tous les élus ont approuvé cette candidature. Ce qui n'a pas empêché l'UMP et les millonistes d'attaquer Gérard Collomb sur ses “contradictions” et sa “méthode”. L’UMP Alain Bideau a ainsi reproché au maire de ne pas prendre en compte “la seule échelle pertinente qui est la région urbaine urbaine de Lyon. On ne sait jamais de quel territoire on parle, ce qui aboutit à des démarches fratricides avec certaines villes”. Denis Broliquier, le maire milloniste du 2e arrondissement, a lui exprimé sa crainte que le dossier de candidature ne ressemble plus à la mise en avant d’un bilan qu’à un véritable projet, tout en regrettant que l’opposition ne soit pas associée aux réflexions. L’adjoint à la culture Patrice Beghain a rappelé la volonté au départ des deux maires de Lyon et Saint-Etienne de présenter une candidature commune. Mais le règlement européen ne le permet pas. “J’ai tenté de convaincre Saint-Etienne de se désister, sans succès. Mais il est évident que si Lyon est choisie, Saint-Etienne aura toute sa place dans l’événement” a affirmé Beghain, en regrettant les déclarations “malencontreuses” de Dominique Perben qui avait